Gabriel Keller Trio

Le trio interprète des titres des albums de Gabriel Keller ainsi que d’autres compositions originales issues de son répertoire. Des œuvres écrites en anglais et en français où chaque titre a fait l’objet d’un travail d’arrangement soigné pour s’adapter parfaitement à la formation, sublimer les lignes mélodiques et permettre au talent de Charlotte de s’exprimer pleinement.
Des reprises réarrangées par le trio viennent ponctuer ce répertoire original.
Avec un mélange de pop-rock, rock progressif et de musique classique, Gabriel Keller Trio emmène le public dans des univers éclectiques, qui naviguent entre lumière et pénombre, douceur et rythmes passionnés.




Belle Robe

« Belle Robe » est une déambulation construite sur des jeux de mots autour du vin, des fromages et des desserts, ponctuant le récit d’une histoire d’amour. 

Deux formats de déambulation : soit 3 passages déambulatoires de 30 minutes environ, soit un passage déambulatoire d’1h30.
Deux formes : 2 comédiennes (850 HT hors frais annexes) ou 5 comédiennes (1950 € HT hors frais annexes)

Une déambulation titubante qui met l’eau à la bouche… et la langue dans tous les sens.
Vins, fromages, desserts et histoires d’amour composent le menu de cette fantaisie culinaire.

Satiété garantie… si vous aimez les mots.




Jean Zay, l’homme complet

1940. Après un simulacre de procès, Jean Zay, ministre de l’Éducation Nationale et des Beaux-Arts du Front Populaire, franc-maçon et cible des antisémites, est condamné par le gouvernement Pétain à la déportation. Incarcéré à Riom, il sera assassiné par la Milice française le 20 juin 1944.
« Souvenirs et solitude », le Journal que Jean Zay écrit en prison, nous rappelle à son action visionnaire : réforme de la scolarité, du cinéma, du droit d’auteur, création des grands lycées de Paris, du CNRS, du Musée de l’Homme, du Festival de Cannes…
Il est aussi le récit poignant d’un homme emprisonné « sans limite de durée ».
Une formidable leçon de présence au monde.

Lien vers le dossier complet (photos, fiches techniques…)




S’il ne nous reste que Shakespeare

« Le monde entier est un théâtre… » Bienvenue dans un univers parallèle dans lequel cette citation de Shakespeare est une réalité concrète. Dans cet univers théâtral miroir, tout est inversé : vous, les spectateurs, êtes les comédiens d’une pièce de théâtre qui se joue ce soir. Pour vous accueillir, toute l’équipe est là : la directrice, l’ouvreuse, le régisseur et l’agent d’entretien.

Certes, la scène ressemble à des gradins et les gradins ressemblent à une scène, mais quand les personnages se mettent à parler, vous réalisez que vous êtes bel et bien passés de l’autre côté car ici, on ne communique qu’avec des phrases empruntées aux différentes œuvres de Shakespeare.




Raconte moi une chaussure

Petite chaussure imparfaite cherche pied pour conte et plus si affinités.
Une petite chaussure ordinaire voudrait rejoindre le clan prestigieux des Chaussures Importantes et Inoubliables. Elles sont célèbres, aimées et reconnues. On ne présente plus les chaussures de Cendrillon ou les Bottes de Sept Lieues du Petit Poucet !

Mais que peut bien faire valoir notre chaussure ? Pas d’histoire prestigieuse, ni de pieds célèbres qui l’auraient chaussée. Alors ? Comment donc arriver à intégrer ce cercle si privé des chaussures célèbres.




Tempêtes de têtes

Dans cette nouvelle aventure, nos deux fées préférées Bella et Zena sont envoyées dans la tête des enfants, pour les aider à évoluer avec Colère, Joie et toute leur bande.
Seulement voilà, pour y arriver elles devront elles-mêmes apprendre à comprendre et à gérer leurs propres émotions !

Dans ce spectacle ludique et joyeux, avec chansons, marionnettes et chorégraphies endiablées, vos enfants découvriront comment identifier, écouter, accueillir, canaliser et accepter leurs émotions et, comme Bella et Zena, peut-être que vous aussi.




Chevâl

Qu’est-ce que signifie « Apprivoiser » ? C’est une chose trop oubliée. Ça signifie « Créer des liens ». Tels le Petit Prince et le renard, face à face une danseuse et Chevâl, marionnette de 3m de haut, tentent de s’apprivoiser. Mais créer des liens demande du temps et de la patience.

La rencontre s’amorce, ils se cherchent, se tournent autour, s’observent, s’effrayent, se rapprochent, s’amadouent, esquissent quelques pas de danse, se fuient pour mieux se retrouver. Parviendront-ils à devenir complices ?

« Chevâl » est une rencontre entre l’humain et l’animal, entre le corps et l’objet, la grâce et la mécanique. Ce duo surdimensionné nous conte une fable chargée de poésie et d’humour.




La Recette de Gawa

« Bonjour à tous, Je m’appelle Gawa et je suis cuisinière ! Est-ce que vous avez envie que je vous transmette une recette de cuisine ancestrale ? Oui? Pour cela, il nous faut 7 ingrédients. Savez-vous où ils se trouvent ? Dans votre corps… Oui ! Dans vos jardins intérieurs.

S’inspirant de philosophies orientales considérant l’être humain de façon holistique, « La recette de Gawa »propose un moment d’écoute et de connexion à son monde intérieur. Grâce aux vibrations des bols tibétains, aux chansons, aux images corporelles inspirées du yoga, le spectacle invite petits et et grands à vivre un moment de douceur et d’amour avec soi-même.




Baró Drom

Andalou de Grenade, Luis de la Carrasca est l’une des références dans le monde Flamenco. Dans ce nouveau spectacle, il poursuit son exploration sonore entre tradition et modernité. Son inspiration chemine dans son vécu, sa réalité et reflète un sentiment qui ne veut jamais partir.
Au chant et au rythme de la guitare Flamenco, s’intègrent un souffle classique avec le piano, une impulsion jazz avec la contrebasse, une liberté avec les percussions, une énergie avec la danse. Attentif aux sons du monde, Luis de la Carrasca croit au pouvoir des mots et défend une musique sans limites.




Concert Fauzene

Fauzene, c’est la rencontre d’Allan Besset et Théo Rivière, un duo de rêveurs dotés d’une délicieuse complicité. Opposés dans leurs influences musicales mais réunis par leurs intentions créatives, les deux musiciens déchiffrent ensemble le monde qui les entoure. L’objectif est simple : produire en s’amusant, suivre ses pulsions, sortir de la monotonie, car c’est la force de Fauzene : faire confiance à l’intuition.

Convaincu que la joie d’un set ludique est contagieuse, Fauzene vous invite à vous réconcilier avec votre âme d’enfant. Arborant un son impulsif et fougueux d’une fraîcheur bienvenue, le duo s’empare du genre «pop» pour le transformer en « Pop Surprise ».




Mago mentalista

Guido est italien et mentaliste. Le mentalisme est l’art de présenter des effets paranormaux.
Lectures de pensées, divinations, prédictions impossibles sont autant d’expériences qui, dans ce spectacle, relèvent indéniablement de l’inexplicable. Et pourtant…
Le temps d’un spectacle, acceptez de mettre joyeusement des parenthèses à votre réalité.




Les schmogs

Les Schmogs viennent d’ailleurs mais personne ne sait d’où. Touristes intergalactiques, ils visitent notre planète et découvrent ses habitants d’un œil espiègle et quelque peu dubitatifs quant à nos comportements terriens. Tout est ainsi prétexte à jouer, s’étonner et s’émerveiller avec les drôles d’humains qu’ils rencontrent. Il n’y a plus qu’à vous laisser embarquer !

Déambulation explorative avec trois schmogs ! Tous publics. 2 fois 45 min. Possibilité d’atelier « techniques de déambulation » avec des amateurs pour une performance jusqu’à 15 schmogs sur une journée. Déambulation adaptée pour Noël.




Qui a hacké Garoutzia ?

« Qui a hacké Garoutzia ? » est une comédie policière sur la mémoire des humains, des machines, et le léthé. Elle raconte les vies successives du personnage principal, Garoutzia, un agent conversationnel, un chatbot du futur.

L’énigme policière lui fait remonter le cours de sa mémoire numérique. Il découvre au contact des humains, la jouissance des mots, l’amitié, la transgression, l’amitié, la mort… C’est le prétexte pour amener le spectateur à s’interroger sur le futur de ces technologies, et reposer la grande question sur la vie, l’univers et le reste.




Pommes d’Amour

Trois frères et sœurs se souviennent de leurs vacances et des émotions partagées dans un immense parc d’attractions.
Leurs reviennent le goût des sucreries, mais aussi leur passion pour les jeux vidéos. Les chamailleries qui les divisaient quelques fois entre garçons et filles pour des raisons futiles.
Mais surtout la complicité et l’amour qui les unissaient face aux regards et moqueries
parfois entendues sur leur passage, à la vue de leur frère dans son fauteuil roulant.
Réunis par la danse et la musique, unis dans leurs différences, ils nous partagent leurs incroyables aventures… et mésaventures !
À travers une histoire riche en rebondissements, cette fratrie partage ces mésaventures et emmène le public à prendre conscience des embûches que l’on peut trouver sur le chemin de la vie . . . et comment les dépasser pour grandir !
Avec la conviction que la solidarité, la fraternité et l’amour seront toujours le socle du progrès de l’humanité.



Volubilus

Manège animé par 3 personnes avec vente de glace italienne. Glaces artisanales à base de
produits frais, locaux et ou bio.
Volubilus emmène 6 enfants dans un voyage en mer, balade onirique peuplée d’animaux marins. Pas d’inquiétude : À bord, nous sommes équipés de canots de sauvetage. Le manège est entraîné par des parents apprentis marins…
Un poisson bouchon qui crache des bulles, une baleine tressée, une mouette rieuse, un poulpe tentaculaire, et 2 canots de sauvetage à sensation…




Souvenirs du Monde d’Après

Nous sommes dans un lointain futur. Le public et les personnages sont tous des scientifiques spécialistes -chacun dans leur discipline- de la période du XXIème siècle. Un siècle qui a vu l’humanité se sauver d’elle même alors qu’elle risquait de disparaître.

Aujourd’hui ils tiennent colloque pour mettre en commun leurs travaux et tenter de dessiner une chronologie à l’aide d’objets d’époque suspendus sur une frise.

L’un va tenter de démontrer que ce sont les décisions politiques qui ont changé le monde, l’autre croit aux changements individuels…




Mafia Wanaca

Groupe de cumbia, merengue et cuarteto, Mafia Wanaca est né de la rencontre entre deux argentins et deux français férus de culture latino-américaine. Ils créent cette formation en 2019, avec l’idée de produire un son puissant et efficace avec un minimum de musiciens et un veto pour les chemises à fleurs. Le pari est réussi. Un concert de Mafia Wanaca déclenche inévitablement une frénésie de pas de danse endiablés dans l’auditoire. L’organisation décline toute responsabilité en cas de foulure de la cheville…

Pour les curieux qui se poseraient la question, le mot « Wanaca » est dérivé de guanaco (sorte de lama). Selon les situations il peut signifier perfide, rustre ou simplement idiot.




Céleste

CÉLESTE est née de ce mystérieux ailleurs dont nous sommes toutes et tous dépositaires, vers lequel nous cheminons chacune et chacun à notre rythme. Telle une étoile dans la nuit, elle nous éclaire en chemin, un pour chacune, une pour chacun. Tout comme nous, CÉLESTE vient d’assez loin pour avoir oublié ses origines. Choisissant sa destination, la Terre, il/elle épouse nos formes humaines, découvre la matière, expérimente la gravité. Récipiendaire ou messager, CÉLESTE vient à notre rencontre.

Spectacle musical et sans paroles .  Chaque marionnette est manipulée par 2 pilotes et 1 régisseur.  Formules: Une ou deux marionnettes gonflées à l’hélium.




Touche pas ma planète !

Une gamine, mi-sale gosse mi-magicienne, part en guerre contre les pollueurs patentés et ceux qui pensent que la terre leur appartient. Elle commence avec son Papy Pom, boomer climatosceptique, mais au fil des escarmouches, Gaïa se rend compte que tout n’est pas aussi simple qu’elle pouvait le penser. Changer nos comportements est un travail de longue haleine et pourtant le temps presse.




A la dérive !

Félix n’a jamais vu les vagues.
Il ne connaît qu’une mer calme et lisse à l’horizon.
Lorsqu’il était petit, son grand-père lui racontait l’histoire du grand cachalot, si grand qu’il entraîne la houle à chaque éclat de rire.
Aujourd’hui, c’est décidé, Félix prend la mer, pour trouver le grand cétacé et percer le mystère des vagues.

A la dérive est une épopée maritime musicale teintée de poésie où un abat-jour devient poulpe, un drap image l’océan, une baignoire, chaloupe de fortune.




Beethoven ce Manouche

Au paradis, Oliver, l’ange contrebassiste dont le renom dépasse les frontières célestes, est chargé par Dieu de réconcilier les hommes par la musique et de créer une harmonie universelle. Il est « aidé » dans sa mission par deux génies des notes et de la mélodie, Ludwig van Beethoven, le génie du piano et Django Reinhardt, le manouche virtuose. Mais sa tâche n’est pas facile car les deux musiciens ont des caractères bien différents et notre pauvre archange se retrouve à jongler entre la vanité de l’un et la désinvolture de l’autre. Espérons que la chorale convoquée pour l’occasion saura remettre tout le monde d’accord…




LES TONYS

Vous ne voyez pas le danger, ils l’inventent.
Deux gardes du corps, Tony et Tony, sont en mission pour sécuriser la ville et ses habitants. Ils ont de sales têtes, l’air de brutes un peu stupides, mais sont avant tout bien intentionnés : Ils sont là pour vous, pour vous protéger des autres et de vous même. Dans tout espace ou il ya des gens, il y a du danger, et les Tonys connaissent bien leur travail. Vous vouliez passer incognito, ils vous escortent, vous prenez l’air au balcon, ils veulent vous empècher de sauter, vous vouliez allez là, ils vous emmènent ailleurs…




VERY LOST

Le périple very dangerous de deux british explorers très très perdus. Une épopée sauvage au cœur de l’espace public parmi d’insurmontables bosquets, abribus, poteaux, bancs, et autres précipices. Un regard inattendu sur la rue, qui lui donne de manière improbable, une dimension de paysage. Un duo influencé par l’imagerie et le langage du cinéma muet de Chaplin et Lloyd. Nos deux explorateurs ne sont ni au bon endroit, ni au bon moment. Devenus inutiles, derrière eux tout s’écroule comme des ponts de neige. En situation de survie, ils fuient comme une espèce en voie de disparition. « Nous n’avions plus d’autre choix que celui d’avancer, derrière nous nos chemins sombraient un à un ».




A te regarder

Julie est comme elle est, et elle va vous en parler. Vous parler d’elle, vous parler de vous, vous parler de vos proches… Vous parler humain.

Rire, pleurer, hurler, interroger, voyager… Une heure et quart que vous n’oublierez peut-être pas de sitôt.




66 millions d’années

Que s’est-il passé il y a 66 millions d’années ? La mort des dinosaures ? Oui !
Mais comment ? Les volcans en éruption? Un astéroïde? Oui ! En plein cœur.
Du Mexique, au Chicxulub pour être exact. Une photographie de l’impact nous permet même de nous le raconter. Mais qui peut nous dire ce qu’il s’est passé ? Personne. Personne… Et puis c’est quoi un dinosaure ? S’ouvre alors tout un imaginaire… n’est-ce-pas ?
Nous avons donc décidé de donner la parole aux dinosaures, à l’astéroïde, à la première femme paléontologue. Et aux sapiens enfin pour qui nous racontons cette mascarade.




Le Vian en Poupe

Juliette Gréco (la javanaise), Boby Lapointe (ta katy t’a quitté), Jacques Prévert (je vous salis ma rue) mais surtout Boris Vian sont de la partie.
La java des bombes atomiques, le tango des bouchers de la Villette, j’suis snob, une bonne paire de claques, l’évadé, Le blues du dentiste, je bois, le déserteur rebaptisé pour l’occasion « j’irais cracher sur vos bombes » etc… Plus quelques textes inédits d’un clown atypique sont les ingrédients de ce spectacle insolite.




Les Fourberies de Scapin

C’est deux ans avant sa mort que Molière a écrit « Les Fourberies de Scapin ». Toute sa connaissance de la vie s’y trouve, et particulièrement son regard bienveillant sur tous les personnages, mêmes ceux qui sont apparemment les plus odieux.
Les deux pères Géronte et Argante opposent à Scapin une force d’inertie et ne veulent pas démordre de leur point de vue étriqué. Scapin, l’homme qui ne prend pas « non » pour une réponse, armé de sa seule intelligence, réussit à vaincre leur obstination bornée.
Et comment fait-il?
« J’ai reçu du ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d’esprit à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies »




Cabosse ou la particularité

Cabosse est née avec une particularité.
C’est dans le ventre de sa maman que ça s’est produit.
Quand elle est arrivée, le travail de fabrication s’était un peu mal passé. Rien de bien grave.
Mais les grands, ils ont tout de suite trouvé que ça n’allait pas et que s’ils ne faisaient rien, elle serait malheureuse toute sa vie. Et eux aussi.
Alors Cabosse s’écrit à elle, quand elle sera adulte, sage. A n’ouvrir pas avant d’être « fini de fabriquer ».




La tête en friche

Porté au cinéma avec succès par Jean Becker avec Gérard Depardieu et Giséle Casadesus à l’affiche, le roman de Marie Sabine Roger est adapté pour la première fois au théâtre. Cette comédie nous plonge dans l’univers doux amer de Germain : un homme ballotté par une vie qui n’a pas été tendre avec lui.
Sur un banc public, il rencontre Margueritte. Cette adorable vieille dame va lui ouvrir, par le biais de la lecture, les portes de l’imaginaire et des mots qui «grandissent». Entre ces deux êtres que tout sépare, va débuter une relation faite de complicité, de tendresse et d’humour !
Une comédie, drôle et émouvante, qui fait du bien.




Une irritation

C’est au contact de la société artistique Viennoise qu’il s’était juré de fuir il y a trente ans que Thomas Bernhard, spectateur passif d’un dîner chez les Auersberger, déclenche son intarissable monologue intérieur. Porté par les saillies pianistiques de Jérôme Mathevon, notre narrateur déplie sa pensée comme un origami aux mille strates, laissant échapper ça et là, les fulgurances qui le caractérisent : Dissection du mensonge sous toutes ses formes, urgence d’écrire – tout est affaire de survie pour ce personnage joyeusement acariâtre. Sa soif de vérité finit par le remettre lui-même en question car au fond, n’appartient-il pas toujours à cette société artistique qu’il abhorre?




La Cymbalobylette

Deux artistes-ouvriers des Ets DYNAMOGèNE en délégation syndicale officielle viennent vous présenter « La Cymbalobylette ». Un engin musical hybride dont l’esthétique utilitaire s’inspire furieusement du machinisme agricole des années folles. Boniments techniques homologués, rythmes endiablés, concert acoustique & bal populaire en option facultative selon l’humeur des ouvriers.




Monsieur Culbuto

C’est un jouet vivant qui attend désespérément que l’on s’amuse avec lui, l’air de rien. On le traîne dans les rues & on le pose un peu là. Pour quelques minutes, et plus si affinités. Au fond il s’en balance. Comme par magie, il s’agite. À vous de jouer, c’est un jouet. À votre merci.




MIWA

Miwa est un monde inconnu et fantastique. Pour l’écrire, Simonne Rizzo mélange danse, dessin et scénographie numérique sous l’inspiration du cinéma d’animations d’Hayao Miyazaki. Dans la blancheur géométrique d’une page de manga, quatre interprètes se dissolvent dans l’androgynie des personnages. Êtres parfois lumineux, vaporeux, aériens, aquatiques … Ils dansent autant qu’ils se confondent dans les transformations scénographiques. Ce projet pictural et chorégraphique tente de nous permettre de transcender nos connaissances et de redécouvrir cette partie de l’imagination qui est le moteur de l’enfance.




Kant et autres contes

Un dialogue poétique entre conte, création sonore, ombres et marionnettes, à vivre en famille ! À partir de trois contes philosophiques de Jon Fosse, Kant, Noir et humide et Petite sœur, trois enfants découvrent le monde chacun à leur manière. Kristofer, 8 ans, s’interroge sur notre réalité et les limites de l’univers ; Lene, seule à la maison, décide de découvrir à tout prix les trésors cachés dans la cave, il lui faudra d’abord récupérer la lampe de son frère. Et enfin notre petit héros de 4 ans emmènera coûte que coûte sa petite sœur découvrir la mer. Chaque histoire nous plonge dans un monde à hauteur d’enfants…et dans la poésie de leur imaginaire…




Nauru, l’île perdue

Quand on découvre l’histoire de Nauru, la question principale est de savoir comment les habitants de l’île en sont arrivés à détruire leur environnement. On dirait qu’à chaque croisement de route, ils aient fait les pires choix concernant la vie et maintenant la survie de leur île.

Il ne s’agit pas seulement de parler de l’épuisement des ressources mais aussi de la corruption qui l’encourage, de cette politique de terre brûlée qui nous mène au désastre.

Nous interrogeons, plutôt que condamnons, interrogeons le pourquoi, les choix, les chemins, les possibles.

La représentation est suivie d’un jeu collaboratif : il permet au public de vivre ensemble une reconstruction à partir de rien. Le but étant de réfléchir à des solutions aux problèmes environnementaux soulevés dans la pièce.




La Dignité des Gouttelettes

La pluie qui perle au bout des doigts, une jardinière et ses coquelicots, la surprise d’un nuage, la déambulation d’un escargot sous la courbe d’un arc en ciel, une vieille pêcheuse et son poisson, une tempête miniature …
Dans une succession de tableaux dont la trame a la couleur des haïkus, La Dignité des Gouttelettes raconte le lien essentiel de l’eau et du vivant. Entre illusion et réalité, reflet et lumière, projections et manipulation poétique, cette création sensorielle invite à une rêverie qui éveille sur la merveille de cet élément de notre quotidien.




L’île au trésor

Le petit Jim Hawkins, qui mène une vie tranquille à l’auberge de l’Amiral Benbow, se retrouve par une série d’aventures en possession d’une mystérieuse carte au trésor. Aidé par ses amis, le docteur Livesey et le Comte Trelawney, il embarque à bord de l’Hispanola, à la recherche de l’Ile au Trésor. Mais l’équipage se révèle être en réalité une bande de pirates – menée par John Silver. Jim et ses amis réussiront ils à échapper aux pirates, à trouver le trésor et à rentrer sains et saufs en Angleterre ? Une adaptation du chef-d’œuvre de Stevenson pour théâtre d’objets.




L’Orgarêve et ses Joyeux Nuages

Trois machines en une ! Un manège-théâtre écologique à propulsion parentale, un orgue et une machine cinétique.

« L’Orgarêve et ses Joyeux Nuages » cache en son for intérieur un orgue extraordinaire, placé au cœur d’une authentique Citroën C3 de 1929 complètement déstructurée, l’orchestrion donne le ton avec ses sonorités à la « Pink Floyd ». Abritée par un toit ailé, notre étonnante voiture évolue comme perchée en apesanteur pour un voyage hors du temps. Aux commandes de ce carrosse un personnage un peu lunaire à la « Sergent Pepper ». Dès les premières note de musique, les enfants s’envolent à bord de nuages bigarrés flottant dans les airs et mis en orbite autour d’une fantastique machine à rêves.




Synthèse

Quand Irène apprend que sa fille Clémence est atteinte d’une maladie incurable, elle se procure une technologie révolutionnaire : un clone synthétique à l’image de sa fille, conçu pour héberger sa conscience via le processus de la « Synthèse ».
Ce clone c’est A.I.L.E : corps synthétique qui développe une identité propre. Irène le cache pendant des années dans un placard, jusqu’à ce que Clémence revienne à la maison et découvre son existence.
Clémence aura-t-elle seulement le choix d’accepter ou de refuser la « Synthèse » ?
Une pièce qui aborde avec poésie la question du Transhumanisme et qui montre en quoi celui-ci peut bouleverser notre rapport au corps et aux autres.




Cadie à Cadie

Elle analogique et lui numérique, très numérique.
Chacun porte un caddie de supermarché, des caddies qui deviendront bientôt complices de leurs acrobaties.
Avec humour et magie, ils entraînent le public à la limite entre deux mondes : l’ancien et le nouveau, le passé et le futur, l’analogique et le numérique.
Il n’y a pas de gagnant et il n’y a pas de perdant. Est la rencontre quotidienne de ces deux dimensions, qui doivent toujours apprendre à coexister, avec leurs contradictions et les situations drôles qui déclenchent.
45 minutes… bien consommées !




Magic Fluo

il est plein de poésie, couleurs et d’humour.
Son spectacle est constitué de tableaux musicaux où chaque personnage fait partie d’un tableau et ainsi le fait vivre.
La musique est le principal fil conducteur, au delà des paroles et des mots.., tout le monde comprend
sa nationalité.




AC / DC

Ami(e)s cyclistes mélomanes, bienvenue à l’Athlétic-Cyclo-Disco-Club !
Venez transpirer en musique à la recherche du bon tempo,
Venez pédaler en équipe à l’assaut du record du monde en 45t, soyez le digne héritier de Sheila, Ringo & Raymond Poulidor !
FONCTIONNE EXCLUSIVEMENT A L’ÉNERGIE MUSCULAIRE.




Au Comptoir Modeste

Au comptoir modeste, il se passe des choses, peu, peu … Et puisqu’il faut en finir, commençons maintenant. La seule question qui vaille est « Qu’est-ce que je fous là ? » (Cf. roman de Gébé, éd. Du Square – Harakiri)
Une guinguette ou un caboulot, en tous cas, on y sert volontiers de l’alcool. Sur le zinc trône un distributeur de cacahuètes, mais ce sont des écrous (M10) à la place des arachides. Faut dire que ce bistrot à de drôles d’allures de cabaret mécanique autour duquel s’activent deux zigues, deux compères, deux à-quoi-bonistes désespérément loufoques. Au comptoir de ce bar, viendront s’accouder Tati, Tinguely et Bukowski. Un jour, ça va ouvrir, sûr. Et je vous garantis qu’il s’y passera des choses pires que des rêves de gosses, mieux qu’un cauchemar d’ivrogne.

A ta santé, camarade !




Au bord du Vide

Au point de rencontre entre poésie, jonglage et acrobatie, un trio s’interroge sur la fuite du temps.

A ces questions intemporelles, le cirque possède l’art de répondre en reliant le monde des objets à nos pensées les plus secrètes. Au bord du Vide, c’est l’histoire d’un homme qui se retrouve face à sa vie. Un regard en arrière, un regard en avant, ce qu’il a fait, ce qu’il lui reste à faire mais ce jour là il ne peut plus rien faire, un homme troublé au point de se dédoubler. C’est le début : la crise !?

Sur scène, trois comédiens-circassiens jouent des âges de la vie : le Jeune, acrobate-jongleur fougueux qui ne tient guère en place, le Vieux, clown philosophe et funambule qui marche  sur des lignes immatérielles, au temps présent, un homme dans sa quarantaine virevolte dans une roue Cyr comme dans une boussole affolée.

Après « Tout d’abord » et « Après grand, c’est comment ? » la Compagnie Manie offre une nouvelle méditation mouvementée sur le temps… au bord du vide et pleine de sens.




Angèle

Le spectacle est un hommage universel à la vie.
Angèle vit avec ses parents dans une ferme provençale. Elle se laisse séduire par un beau parleur marseillais, qui ne tarde pas à la mettre sur le trottoir. Un an plus tard, elle revient à la maison avec son bébé, un “bâtard“… Son père les recueille, mais pour sauver l’honneur de la famille les séquestre dans la cave.
Le public assiste au texte joué par six acteurs et, simultanément, au tournage évoqué et chorégraphié du film. Une scénographie ingénieuse permet de révéler le monde à la fois réel et invisible du champ et du hors-champ. Grâce à la magie de l’instant, le cinéma franchit l’écran pour se poser délicatement sur la scène.




Anima

Au milieu de ses œuvres à taille humaine, un sculpteur modèle une femme en argile. Un danseur approche : à son tour il est recouvert de glaise…
Sous l’envoûtement des sonorités tribales du percussionniste Pierre Thibaud, un dialogue
nait entre les regards figés, pétris d’humanité, et le corps mouvant.
Tribalité, contorsionnisme, possession, dépossession. Le danseur se laisse emporter dans le
tourbillon de l’instinct et nous ensorcelle par une danse faisant écho à notre condition d’êtres de chair… et d’argile.
Anima veut brouiller les pistes et mettre nos repères en porte-à-faux.
Notre rapport au temps, à l’espace, au corps et à l’âme en est complètement bouleversé…




Madame Caroline

Le 3ème petit cochon était une fille. Vous aussi, vous l’aviez oublié ?
Georges raconte, images à l’appui, comment ça c’est vraiment passé.
Il présente le spectacle, mais Caroline s’invite. Par préjugé, il la met à la cuisine : c’est une fille !
Erreur.
C’est mal connaître celle qui, avec les casseroles, préfère jouer la salsa.
C’est mal connaître celle qui, grâce à son caractère – devenu célèbre – a sauvé ses frères du Loup.
Lui s’en souvient encore, il en est devenu végétarien.

Avec Kamishibaï, Ukulélé et batterie de cuisine.




Le Dindon

Pontagnac, coureur de jupons notoire, cherche à séduire Lucienne Vatelin, qui par ailleurs est courtisée par un ami de la famille, Rédillon. Elle leurs fait savoir qu’elle restera fidèle à son mari, sauf si celui-ci la trompe. Pontagnac va alors mettre tout en oeuvre pour parvenir à ses fins, malgré l’arrivée inopinée de sa femme et de l’ex-maîtresse de Vatelin. C’est alors que tout dérape, dans un tourbillon explosif et loufoque !




Serrement d’Hippocampe

Que dirait une personne atteinte par la maladie d’Alzheimer si elle se voyait elle-même de l’extérieur et avec toutes ses facultés ?
Tel est le parti-pris de « Serrement d’Hippocampe » qui propose le récit de cette rencontre imaginaire entre le personnage et lui-même, se dédoublant sur scène pour jeter un regard tendre sur son épouse qui l’aima coute que coute, un regard critique aussi voire sarcastique sur son parcours avec la maladie et sur ceux qu’il a côtoyés.
De la révolte à la nostalgie, sur un ton léger et parfois caustique, « Serrement d’Hippocampe » vous propose une tranche de vie, d’une vie après soi, d’une vie rétrécie, la vie de l’individu, de la personne qu’il reste avant tout.

Crédit photos : Christian de Héricourt




Blanche Neige règle ses contes

Anne-Gaëlle nous fait partager cinq de ses OCNI (« Objets Contés Non Identifiés »). Du haut de ses 191 cm elle subvertit les histoires par ses calembours perfides pour s’attaquer, en Blanche Neige personnifiée, au sexisme dans les contes de fées. Non sans avoir d’abord réclamé d’être reconnue en tant que « conteuse AOC » grâce à l’adoption de tous les tics et les trucs de la profession de conteuse. Du conte? Du clown? Du sketch? Une performance, c’est sûr! « Une belle découverte d’une artiste hors norme que je ne manquerai pas de suivre en 2018 » (Christina Marino, rédactrice de l’Arbre aux contes, blog du journal Le Monde 14/12/2017).




Et il devint elle

Pourquoi un homme ressent un jour le besoin irrépressible de vivre dans la peau d’une femme ? Comment ça se passe, quand on a été marié, père de famille, cadre supérieur ? Pour vous le faire partager, Anne-Gaëlle Duvochel, comédienne et conteuse, ose tout et ne craint ni de nous émouvoir ni de nous faire rire. Son authenticité, sa liberté de parole et son humour téméraire vont souvent à rebours des slogans, du politiquement correct et des discours victimaires de rigueur chez beaucoup de « trans ». Ce personnage et son histoire sont tellement singuliers qu’au-delà du spectacle, il s’agit d’une véritable rencontre. Le spectateur en ressort ému, ébahi et initié. Un « bord de scène » suit.




Le Chant des Baleines

Si je n’ai pas connue ma mère c’est où chez moi ? d’où je viens ? où je suis ? où je vais ?”
Une jeune fille nous invite à un voyage au cœur de ses souvenirs.
Une question pourtant toute simple en apparence “C’est où chez toi ?” devient le point de départ
de sa quête, de son parcours singulier autour du monde pour retrouver son pays d’origine.
Sensible et teintée d’humour, une traversée au pays des images, des berceuses et des ombres,
abordant le thème de l’exil avec la douceur d’une berceuse.
Pour Jeune et aussi tout public un moment de partage à vivre en famille.
« La voix d’une mère qui berce son enfant n’a pas la couleur de sa langue
mais celle de l’amour qu’elle lui porte »