Qu’est-ce que le théâtre ?

« Qu’est-ce que le théâtre ? » répond sans chichi ni angoisse à toutes les questions que l’on se pose sur le théâtre. Et c’est drôlement intelligent.
En effet, toutes les enquêtes d’opinion le prouvent : l’art dramatique arrive en tête des sujets qui inquiètent les Français, juste après les risques alimentaires et les accidents nucléaires.
Ainsi, face à cette inquiétude, des professionnels reconnus répondent aux questions que tous se posent sur le théâtre. C’est dans une atmosphère intime et décontractée que vous saurez enfin si, lorsqu’ils s’embrassent, les comédiens mettent la langue.
Une pièce dans la pièce vous entrainera dans tous les registres des mouvements de l’âme.




Aurélie et Verioca

Attention : SPECTACLE QUI MET EN JOIE !
Elles ont passé 10 ans à trimballer leurs chansons sur les routes de France et du Brésil. Elles ont ensuite enchaîné avec leur succès à Avignon en 2021, et les voici de retour !
Avec notamment raffinement, délicatesse et humour, elles vont faire voyager votre imaginaire !




Climax

Le rire utilisé comme arme de réflexion massive.
Après le succès de « Manger », la Compagnie Zygomatic revient chatouiller notre conscience face à l’urgence climatique. Tout en poussant un peu plus loin son exploration du spectacle multiforme, les quatre comédiens tantôt danseurs, chanteurs, et mimes nous embarquent dans un road movie férocement drôle, fertile et libérateur.
En somme, c’est un mariage entre comique absurde, humour grinçant et transmission de véritables enjeux scientifiques…




L’Odyssée

« L’Odyssée » reprend l’épopée mythique écrite par Homère, en l’adaptant pour le jeune public. C’est avec humour et vigueur qu’on suit la trame du poème original pour recréer un univers peuplé de créatures mythologiques. De surcroît dans un univers futuriste, fait de béton et de néons, comme les films de science-fiction les plus récents. En bref, rire, magie et aventure se réunissent pour émerveiller les enfants… et raviver les souvenirs des plus grands !

 




Balayer Fermer Partir

Que se passe-t-il lorsqu’une danseuse et une écrivaine se rencontrent ?
L’une offre ses mots, l’autre ses gestes, et voici qu’ils se mêlent en un solo chorégraphique. C’est une voix, c’est une danse qui partent explorer à l’unisson ce que les lieux provoquent en nous de sensations : le fait de vivre entre quatre murs, un sol, un plafond ; ce que symbolisent les fenêtres ; le rapprochement avec ce lieu qu’est le corps, notre première
« maison »… Quels souvenirs les lieux inscrivent-ils en nous ? Comment habitons-nous notre propre corps ? Autant de phrases, de gestes, de ruptures et de souffles qui délimitent un espace dans lequel on se tient comme sur un fil tendu.




Sœurcières

« Ensemble ouvrons ce vieux grimoire recouvert de poussière : de nombreuses histoires de sorcières, de destins de femmes et au milieu d’elles retrouvons une jeune fille à la croisée des chemins… »
Ce conte poétique et dansé revisite la sorcière au nez crochu. Ainsi nous est proposé une création remplie de magie, de sortilèges mais surtout empreinte de liberté.
Dans de nombreuses histoires la sorcière est un personnage récurrent. Mais elle est rarement le personnage principal. La Cie Plumea cherche à questionner cette sorcière.
En bref, la sorcière ne serait-elle pas un symbole de force ? Un modèle inspirant ?




Ulysse, L’Odyssée, L’Iliade et surtout l’Odyssée

Trois comédien·ne·s- marionnettistes, manipulent à vue ce monde Homérien, tel·le·s des dieux/déesses grec·que·s · tels des aèdes contemporains. Des origines de la querelle divine en passant par la guerre de Troie, de Nausicaa à Circée, avec Humour et délicatesse, les aventures d’Ulysse sur les mers nous sont contées. C’est un premier plongeon jubilatoire dans cette épopée pour les petits à partir de 8 ans, à déguster en famille.




Courage !

« Du courage, mais j’en ai pas moi ! » dit Achille Trolligan en recevant l’appel au secours de son grand-oncle. Il se voit contraint de traverser la forêt et de surmonter ses peurs.
Mais il y rencontre aussi de drôles de personnages : fantômes, sorcière, zombie et monstres en tous genres…
C’est un parcours initiatique qui attend nos trois personnages principaux : Le peureux Achille Trolligan, la Sorcière ratée qui voudrait être une fée et Igor le zombie à tout faire vont, ensemble, trouver leur voie.
Spectacle très visuel, l’univers du conte permet de mélanger les formes et les matières. Marionnettes, masques et musique classique y trouvent naturellement leur place.




L’histoire de l’humanité (en toute simplicité !)

Une clownerie (vaguement) historique. Ce spectacle raconte l’histoire de l’humanité de la préhistoire aux droits de l’enfant vu à travers des personnages de clown qui vous font revivre ses principaux épisodes… à leur manière.
Sur fond de danse, de musique endiablée et de bonne humeur, les clowns Al et Jean-Pi rivalisent d’imagination et de délire.

La tradition clownesque est respectée. Ainsi, le personnage de Al est l’Auguste, le pitre, tandis que Jean-Pi est le clown blanc qui rappelle à l’ordre. Après un accueil en jeu et une parade, les clowns improvisent sur le thème de l’histoire de l’humanité. Une comptine gestuelle est proposée et chantée ensemble.




Liberté !

Liberté ! (avec un point d’exclamation) est un cri de révolte à la fois philosophique et sociétal.

Il dénonce la confiscation de la démocratie par des grands groupes industriels et de la liberté de penser par des idéologies et religions.
Mais les arguments de Gauthier Fourcade sont toujours aussi absurdes et les raisonnements délirants. L’univers devient surréaliste. Il y est question d’amour, de Romains, de moulins à paroles produisant de l’électricité, de voitures dont le volant ne peut tourner qu’à droite. On s’évade, on quitte le quotidien. Mais c’est pour mieux y revenir !




Les Souffrances de Job

Au-delà de la réécriture satirique du Livre de Job, qui nous ouvre des perspectives quant à la souffrance injustifiable, la violence des hommes au nom du sacré, et le douteux postulat de départ de l’homme strictement honnête, Levin brosse une fresque de l’absurdité de la violence, ses différentes mises en scène, et questionne avec cynisme et
mystère la nature humaine. Nous souhaitons, mêler ce cri de désespoir à notre palpitation joyeuse de jeunes acteurs, avec l’espoir vif que ce théâtre de la cruauté a un pouvoir d’ouverture et peut être déclencheur si ce n’est d’action, au moins de pensée, de discussion et de remise en question.




Marcelle dans les Z’airs

« Une rencontre sidérale entre la fée Mélodie et la clown Marcelle : Un filet à météorites, des chaussures du vent, une poubelle magique, un arbre à notes, des casseroles de pluie, un mur des sons et une chanson merveilleuse… pour s’envoler ensemble ! « La fée Mélodie, en panne d’inspiration, a convié Marcelle pour la sauver. Quelle idée : Marcelle ne connaît rien à la musique et chante comme une casserole ! Elle ne rêve que de s’envoler dans les airs. Mais magie, surprise, et clownerie viendront peut être à son secours pour l’aider à composer la chanson merveilleuse de Mélodie et qui sait… à s’envoler aussi !




Après l’amour

Entre rire et émotion…

Le face-à-face cocasse et poignant, teinté d’humour noir, d’un vieux couple trop ordinaire pour être vraiment ordinaire, et qui a passé sa vie à tout économiser, surtout les sentiments.

Une comédie d’un réalisme féroce, aux allures de fable philosophique sur le vrai monde, celui du bonheur sans histoires, celui des histoires de bonheur.




Beyrouth Hotel

Dans un modeste hôtel de Beyrouth, les interrogations intellectuelles d’un auteur de théâtre parisien se heurtent au goût de la vie et à la spontanéité d’une réceptionniste, qui a pourtant presque toujours connu la guerre. Cette comédie douce-amère, pleine de drôlerie et de subtilité, raconte ainsi la rencontre de deux mondes et de leurs cultures, de l’Orient et de l’Occident, et aussi d’une femme et d’un homme… Avec l’aide d’un complice musical inattendu et malicieux, dans un dialogue percutant, parfois hilarant, mêlant dérision et tendresse, ce jeu de miroir plein d’énergie, parfois touchant, vient bousculer les certitudes de personnages drôles et attachants. Reste à savoir jusqu’où ?




Chandelle

Ce spectacle est à la fois du théâtre visuel et du théâtre gestuel.
La musique est une composition originale de David Lesser.
Le personnage en scène subit le froid puis le chaud, il contemple les effets de la petite bougie et entraîne le spectateur dans une rêverie autour du feu. Plusieurs émotions parcourent cette histoire, du mal être au bien être en passant par la peur, la tristesse, puis la joie. Le spectacle s’articule du réel (utilisation d’une flamme) au virtuel (projection de vidéo de feu, puis d’images en concordance : feu de bengale, d’artifices, bougies d’anniversaire) et s’achève dans l’abstraction (projection de dessin, peinture).




Gwen Soli et Monsieur G

Gwen Soli et Monsieur G. voguent au gré de compositions originales, avec humour, malice et complicité, dans une sobre mise en scène à deux personnages.
Parce qu’une femme n’est pas une mais mille, ils proposent une palette de la féminité dans toute sa richesse et ses secrets, reflet des intimités.
Gwen Soli, accompagnée de Monsieur G. à la guitare, vous invite de sa voix tantôt tendre, tantôt rauque, douce et puissante. Une femme se dévoile… un peu.

Sur des poèmes d’Andrée Chedid, Charles Cros, Garance Bauhain, des fragments de Marylin Monroe, des textes sur mesure d’Amandine Barrillon, des chansons inédites de Lalo, Hervé Peyrard ou de Gwen Soli et Monsieur G.




La folle histoire de France

Ici vous n’êtes pas au théâtre mais en classe et le prof accueille les spectateurs qui, le temps d’un cours d’histoire, redeviennent des élèves. Parmi eux, un cancre, redoublant multirécidiviste cumulant 20 ans de 5e !
Le prof va devoir déployer tout son talent et son savoir pour faire revivre l’histoire et lui redonner l’envie d’apprendre. Sauf que plus il détaille les faits, plus le cancre va enchaîner les pitreries et plus l’histoire bascule dans la folie.
Le public aussi est invité à jouer leur rôle. Délégués, cancres ou fayots, chacun participe à sa manière. Et quand la cloche retentit, on se rend compte qu’on a qu’une envie : continuer d’apprendre en s’amusant !




Natasha

Deux soldats, une position à tenir, une guerre qui n’a pas de nom… Hans attend de revoir sa fille Natasha, celle qui porte le vin de la vie. Gerd retrouvera sa sœur, qui lui tricote ses bonnets en laine. Hans vise la tête du lapin qui fera le repas. 
Gerd n’est pas d’accord, la tête c’est le meilleur !
Avec des personnages de clowns, comme des grands enfants jouant un jeu qu’ils ne comprennent pas très bien, la mise en scène met l’accent avec naïveté et drôlerie sur la difficulté des êtres à s’entendre et le long chemin vers la tolérance.
La pièce parle d’amour, de mort, de guerre, de religion, de solitude, de tendresse, du théâtre et d’utopie. Au fond, c’est une pièce sur la paix.




Karabistouille

L’illustration dans une bande dessinée d’un homme avec une valise quittant son pays pour aller travailler à l’étranger a été la source de mon inspiration pour ce spectacle.
Cela a fait écho à mon histoire familiale et au parcours de vie de mes parents immigrés italiens venus travailler en France dans les années 50. Mon travail de comédien clown a alors pris tout son sens. Il a trouvé sa place entre mes souvenirs d’enfance et mon expérience du spectacle jeune public.
Les images constitutives de ce spectacle me sont alors venues tout naturellement : la valise qui nous prépare au voyage, le train qui nous emmène vers l’ inconnu et enfin l’accent italien inspiré de mes origines. La magie tient également une place importante, car j’aime mêler son pouvoir de fascination à la sensibilité et à la poésie véhiculées par le personnage du clown.
C’est de cette façon et en collaboration avec Olivier Labiche qu’est né : « Karabistouille « .

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Semeurs de Rêves

Les grisevillois avaient toutes sortes de croyances, de celles qui figent les pensées et les gens selon qu’ils soient hommes ou femmes, jeunes ou vieux, riches ou pauvres, à plumes ou à fourrure. Gare au grisevillois qui ose sortir du rôle qui lui est destiné !

Deux étrangers, deux semeurs de rêves, vont s’installer à Griseville et bousculer le quotidien de ses habitants. Les enfants d’abord puis bientôt les plus grands vont interroger leurs croyances, briser les frontières, écouter leur cœur et prendre la route de leur plus grand rêve avec courage, patience et persévérance.

Des arts mêlés mis au service d’une histoire qui interroge nos rêves et notre liberté à devenir ce que l’on pourrait être envers et contre toute conformité.




Odalva

Tout en haut d’un arbre, la tête dépassant du feuillage, on entend la clameur des villes, on parle la langue des oiseaux, des vieilles dames dansent le houla hop, la poésie est un combat ordinaire. Quand le soleil disparaît derrière la colline, il se lève sur la mer… Va comprendre !
Odalva c’est de la chanson actuelle, de la poésie du quotidien, avec une pincée de slam. Sur scène, de la guitare sèche ou électrique, un métallophone et deux voix emmêlées qu’on n’est pas prêt d’oublier. Les univers des deux auteurs se croisent et se complètent dans un spectacle à taille humaine, poétique et puissant. Les chansons racontent des personnages, évoquent des histoires, elles dessinent un monde à la fois réaliste et décalé, elles sont chantées ou dites.