Angèle

Le spectacle est un hommage universel à la vie.
Angèle vit avec ses parents dans une ferme provençale. Elle se laisse séduire par un beau parleur marseillais, qui ne tarde pas à la mettre sur le trottoir. Un an plus tard, elle revient à la maison avec son bébé, un “bâtard“… Son père les recueille, mais pour sauver l’honneur de la famille les séquestre dans la cave.
Le public assiste au texte joué par six acteurs et, simultanément, au tournage évoqué et chorégraphié du film. Une scénographie ingénieuse permet de révéler le monde à la fois réel et invisible du champ et du hors-champ. Grâce à la magie de l’instant, le cinéma franchit l’écran pour se poser délicatement sur la scène.




Revue de Rue

Format : Fresque de rue lumineuse en mouvement – scénettes chorégraphiques fixes
Musique : Répertoire sur bande son – Musique originale
Durée : Spectacle déambulatoire 1h30 ou 2 x 45 min
Technique : Son et lumière – fournie par la compagnie

Déambulatoire version complète :
14 artistes + 1 technicien

La Tour Piano : Machine musicale – tirée par un petit véhicule et conduite par un comédien. Sonorisation, lumières, confettis et pyrotechnie intégrés
Le Pianiste : comédien acrobate et équilibre
2 Danseurs équipés de chapeaux lumineux
3 Danseuses équipées de chapeaux lumineux
1 Échassier acrobate lumineux
6 Marionnettes géantes lumineuses
1 Technicien




Les Souffrances de Job

Au-delà de la réécriture satirique du Livre de Job, qui nous ouvre des perspectives quant à la souffrance injustifiable, la violence des hommes au nom du sacré, et le douteux postulat de départ de l’homme strictement honnête, Levin brosse une fresque de l’absurdité de la violence, ses différentes mises en scène, et questionne avec cynisme et
mystère la nature humaine. Nous souhaitons, mêler ce cri de désespoir à notre palpitation joyeuse de jeunes acteurs, avec l’espoir vif que ce théâtre de la cruauté a un pouvoir d’ouverture et peut être déclencheur si ce n’est d’action, au moins de pensée, de discussion et de remise en question.