Chevâl

Qu’est-ce que signifie « Apprivoiser » ? C’est une chose trop oubliée. Ça signifie « Créer des liens ». Tels le Petit Prince et le renard, face à face une danseuse et Chevâl, marionnette de 3m de haut, tentent de s’apprivoiser. Mais créer des liens demande du temps et de la patience.

La rencontre s’amorce, ils se cherchent, se tournent autour, s’observent, s’effrayent, se rapprochent, s’amadouent, esquissent quelques pas de danse, se fuient pour mieux se retrouver. Parviendront-ils à devenir complices ?

« Chevâl » est une rencontre entre l’humain et l’animal, entre le corps et l’objet, la grâce et la mécanique. Ce duo surdimensionné nous conte une fable chargée de poésie et d’humour.




Baró Drom

Andalou de Grenade, Luis de la Carrasca est l’une des références dans le monde Flamenco. Dans ce nouveau spectacle, il poursuit son exploration sonore entre tradition et modernité. Son inspiration chemine dans son vécu, sa réalité et reflète un sentiment qui ne veut jamais partir.
Au chant et au rythme de la guitare Flamenco, s’intègrent un souffle classique avec le piano, une impulsion jazz avec la contrebasse, une liberté avec les percussions, une énergie avec la danse. Attentif aux sons du monde, Luis de la Carrasca croit au pouvoir des mots et défend une musique sans limites.




Céleste

CÉLESTE est née de ce mystérieux ailleurs dont nous sommes toutes et tous dépositaires, vers lequel nous cheminons chacune et chacun à notre rythme. Telle une étoile dans la nuit, elle nous éclaire en chemin, un pour chacune, une pour chacun. Tout comme nous, CÉLESTE vient d’assez loin pour avoir oublié ses origines. Choisissant sa destination, la Terre, il/elle épouse nos formes humaines, découvre la matière, expérimente la gravité. Récipiendaire ou messager, CÉLESTE vient à notre rencontre.

Spectacle musical et sans paroles .  Chaque marionnette est manipulée par 2 pilotes et 1 régisseur.  Formules: Une ou deux marionnettes gonflées à l’hélium.




Beethoven ce Manouche

Au paradis, Oliver, l’ange contrebassiste dont le renom dépasse les frontières célestes, est chargé par Dieu de réconcilier les hommes par la musique et de créer une harmonie universelle. Il est « aidé » dans sa mission par deux génies des notes et de la mélodie, Ludwig van Beethoven, le génie du piano et Django Reinhardt, le manouche virtuose. Mais sa tâche n’est pas facile car les deux musiciens ont des caractères bien différents et notre pauvre archange se retrouve à jongler entre la vanité de l’un et la désinvolture de l’autre. Espérons que la chorale convoquée pour l’occasion saura remettre tout le monde d’accord…




Les Fourberies de Scapin

C’est deux ans avant sa mort que Molière a écrit « Les Fourberies de Scapin ». Toute sa connaissance de la vie s’y trouve, et particulièrement son regard bienveillant sur tous les personnages, mêmes ceux qui sont apparemment les plus odieux.
Les deux pères Géronte et Argante opposent à Scapin une force d’inertie et ne veulent pas démordre de leur point de vue étriqué. Scapin, l’homme qui ne prend pas « non » pour une réponse, armé de sa seule intelligence, réussit à vaincre leur obstination bornée.
Et comment fait-il?
« J’ai reçu du ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d’esprit à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies »




MIWA

Miwa est un monde inconnu et fantastique. Pour l’écrire, Simonne Rizzo mélange danse, dessin et scénographie numérique sous l’inspiration du cinéma d’animations d’Hayao Miyazaki. Dans la blancheur géométrique d’une page de manga, quatre interprètes se dissolvent dans l’androgynie des personnages. Êtres parfois lumineux, vaporeux, aériens, aquatiques … Ils dansent autant qu’ils se confondent dans les transformations scénographiques. Ce projet pictural et chorégraphique tente de nous permettre de transcender nos connaissances et de redécouvrir cette partie de l’imagination qui est le moteur de l’enfance.




Le Dindon

Pontagnac, coureur de jupons notoire, cherche à séduire Lucienne Vatelin, qui par ailleurs est courtisée par un ami de la famille, Rédillon. Elle leurs fait savoir qu’elle restera fidèle à son mari, sauf si celui-ci la trompe. Pontagnac va alors mettre tout en oeuvre pour parvenir à ses fins, malgré l’arrivée inopinée de sa femme et de l’ex-maîtresse de Vatelin. C’est alors que tout dérape, dans un tourbillon explosif et loufoque !




Gharnata

Luis de la Carrasca présente son nouveau spectacle « Gharnata » issu de son album éponyme.
Gharnata veut dire Granada en arabe. L’artiste, originaire de Grenade, rend hommage à l’héritage laissé par cette extraordinaire civilisation lors de son apogée. C’est dans ce nouveau spectacle que 5 musiciens et une envoûtante danseuse accompagnent Luis de la Carrasca. Ses paroles font référence aux valeurs indispensables à l’humanité. En effet, il a ressenti la nécessité d’aborder nos racines qui nous guident vers le futur. C’est ainsi qu’il rend aussi hommage aux génies universels que sont García Lorca, Machado, ou encore le grand Bizet. En somme, il désire partager avec le public sa manière d’aborder le Flamenco. Un patrimoine inoubliable !




Climax

Le rire utilisé comme arme de réflexion massive.
Après le succès de « Manger », la Compagnie Zygomatic revient chatouiller notre conscience face à l’urgence climatique. Tout en poussant un peu plus loin son exploration du spectacle multiforme, les quatre comédiens tantôt danseurs, chanteurs, et mimes nous embarquent dans un road movie férocement drôle, fertile et libérateur.
En somme, c’est un mariage entre comique absurde, humour grinçant et transmission de véritables enjeux scientifiques…




Un bébé à livrer

Une cigogne blessée confie le bébé qu’elle devait livrer à trois compères : un canard idiot, un lapin crétin et un gentil cochon un peu bougon. Leur mission est de le livrer à Avignon. Mais aucun des animaux ne sait où se trouve cette ville ni comment s’y prendre pour effectuer le trajet. Ils vont dès lors improviser au fil de leurs humeurs à coup de stratagèmes les plus improbables, et tenter d’échapper aux nombreux pétrins dans lesquels ils vont se fourrer. Dans une ambiance à la Tex Avery, le spectateur est emporté comme un ouragan dans ce road movie cartoonesque où la bêtise devient un symbole d’humanité. Les animaux sont les héros de cette histoire qui met en avant leur sens du lien et de l’amitié.




One More?

Lors d’un bal de tango argentin, lorsqu’on souhaite faire une dernière danse, on lance un «une de plus? », qui signifie en réalité «je souhaite en rester là après cette danse». C’est un «euphémisme de bienséance», une façon polie de finir la partie, qui pourra, ou pas se reproduire plus tard dans la soirée de bal. Jeu d’identités à «danser», le tango est une forme de drogue où l’on se rêve bercé-e la nuit durant, dans les bras des danseurs-es. Pour y parvenir, tenues, comportements et règles de cette société sont tacitement suivies. A travers cette danse qui met le «coeur» au centre, on se met à nu dans nos identités. Quelque chose ne ment pas dans les bras de l’autre, le corps raconte.




Des espèces d’espaces

Véritable espace ludique et de détente-jeux en libre accès dans une installation coloré et spectaculaire. Des animateurs costumés vous accompagnent.




Le Vilain petit canard

Un univers poétique et décalé, entre réel et imaginaire, où se mêlent théâtre masqué, d’ombres, cirque et musique.
Une cour d’école. Une dispute. Grand, gros, petit, dents en avant, drôle de couleur ou drôle d’allure… les mots sont durs et blessants. Des personnages surprenants tirés de la fable animalière apparaissent soudain. Le Vilain Petit Canard se lance dans un véritable voyage initiatique qui changera sa vision du monde et de la vie. Avec fougue, humour et douceur, la mise en scène met l’accent sur les thèmes universels de la différence, du harcèlement et de l’importance de croire en ses rêves et en ses chances. Une revisite du célèbre conte qui résonne comme un rêve.




Manu and Co et son big band

Une musique 100% chanson française, qui fait illico taper des pieds, tortiller des hanches, balancer la tête et chanter.

« Nous faisons des compositions originales dans la veine des années 30 à 50 : valse, java… jazz manouche… quelques riffs de rock, un chaloupé de rumba, … Ces créations sont croisées de standards que tout le monde reconnaît. Les textes, eux, empruntent à la parodie ».

Leur répertoire oscille entre la « Belle époque » et les « années folles » dans l’esprit des « guinguettes » d’autrefois.




La Grande Phrase

Les personnages de GONFLES/Véhicules sont gonflés d’air –. L’air dans les structures de latex est le moteur de cette création : il génère les formes et les déformations, les énergies, la dynamique. Il devient ainsi créateur d’un lien nouveau entre le danseur, l’espace, le public, l’architecture, la ville, la vie dans cet espace public qu’il vient troubler, ranimer. Il transforme le danseur en signe, en symbole, jamais univoque – voir ci-dessous. Ce jeu entre l’air et le corps du danseur « augmenté » donne une valeur cosmique à ce projet hors normes qui rassemble tous les publics.




La folle histoire de France

Ici vous n’êtes pas au théâtre mais en classe et le prof accueille les spectateurs qui, le temps d’un cours d’histoire, redeviennent des élèves. Parmi eux, un cancre, redoublant multirécidiviste cumulant 20 ans de 5e !
Le prof va devoir déployer tout son talent et son savoir pour faire revivre l’histoire et lui redonner l’envie d’apprendre. Sauf que plus il détaille les faits, plus le cancre va enchaîner les pitreries et plus l’histoire bascule dans la folie.
Le public aussi est invité à jouer leur rôle. Délégués, cancres ou fayots, chacun participe à sa manière. Et quand la cloche retentit, on se rend compte qu’on a qu’une envie : continuer d’apprendre en s’amusant !




« et si vous y croyez assez, peut-être il y aura un poney. »

Ce qui est sûr à propos de ce spectacle : c’est qu’on y parle de magie.
Pour le reste, on ne sait pas trop. C’est un récital qui se barre en foutraque, c’est une voix et un clavier aux sons multiples, c’est un homme et une femme au plateau.
On sait qu’on y écoute des mots, des notes, qu’on y rit, qu’on y rêve, qu’on y réfléchit.
Il y a des cartes bien sûr, une feuille qui vole, un lapin aussi, on y parle d’amour, d’Aqualand, de faire vibrer les corps de la ville.
Ce n’est pas vraiment de la magie. Mais la magie c’est la magie.




Le GOP – Le Grand Orchestre de poche

“ C’est parce que, à trois c’est pire, que c’est mieux ! ”
Le Grand Orchestre de Poche est un trio de clowns passionnés par le Ukulélé.
Ils veulent rendre ses lettres de noblesse à ce petit instrument si souvent moqué. Pour eux, l’amour du ukulélé est immense et le plaisir d’être présents est énorme. Ce soir c’est “ le grand soir “ de leur premier récital. Un concert qui tourne à la catastrophe pour notre plus grand plaisir.




Daniel Fernandez

Entre Maroc et Chili, Shanghai et Montréal, et dernièrement Cuba… En passant par l’Espagne, Manhattanet le Sénégal, le Togo et Bali… Voici quelques récits, griffés à la plume volée sur l’une de ses ailes.Daniel Fernandez nous propose de l’accompagner sur les pistes de ses rencontres, de ses saveurs, deses histoires, de ses couleurs et de ses espoirs. Entre le violon oriental et une guitare aux influencesflamenco et rock, une rythmique pouvant osciller entre tribal et funk, voici les chansons métissées surune musique épicée, où ici est là. Le souffle de sa voix gonflera les voiles et vous permettra de vousévader un instant. Embarquez à bord de ses chansons, vers d’autres horizons. Daniel vous y attend…