Raconte moi une chaussure

Petite chaussure imparfaite cherche pied pour conte et plus si affinités.
Une petite chaussure ordinaire voudrait rejoindre le clan prestigieux des Chaussures Importantes et Inoubliables. Elles sont célèbres, aimées et reconnues. On ne présente plus les chaussures de Cendrillon ou les Bottes de Sept Lieues du Petit Poucet !

Mais que peut bien faire valoir notre chaussure ? Pas d’histoire prestigieuse, ni de pieds célèbres qui l’auraient chaussée. Alors ? Comment donc arriver à intégrer ce cercle si privé des chaussures célèbres.




Tempêtes de têtes

Dans cette nouvelle aventure, nos deux fées préférées Bella et Zena sont envoyées dans la tête des enfants, pour les aider à évoluer avec Colère, Joie et toute leur bande.
Seulement voilà, pour y arriver elles devront elles-mêmes apprendre à comprendre et à gérer leurs propres émotions !

Dans ce spectacle ludique et joyeux, avec chansons, marionnettes et chorégraphies endiablées, vos enfants découvriront comment identifier, écouter, accueillir, canaliser et accepter leurs émotions et, comme Bella et Zena, peut-être que vous aussi.




Chevâl

Qu’est-ce que signifie « Apprivoiser » ? C’est une chose trop oubliée. Ça signifie « Créer des liens ». Tels le Petit Prince et le renard, face à face une danseuse et Chevâl, marionnette de 3m de haut, tentent de s’apprivoiser. Mais créer des liens demande du temps et de la patience.

La rencontre s’amorce, ils se cherchent, se tournent autour, s’observent, s’effrayent, se rapprochent, s’amadouent, esquissent quelques pas de danse, se fuient pour mieux se retrouver. Parviendront-ils à devenir complices ?

« Chevâl » est une rencontre entre l’humain et l’animal, entre le corps et l’objet, la grâce et la mécanique. Ce duo surdimensionné nous conte une fable chargée de poésie et d’humour.




Céleste

CÉLESTE est née de ce mystérieux ailleurs dont nous sommes toutes et tous dépositaires, vers lequel nous cheminons chacune et chacun à notre rythme. Telle une étoile dans la nuit, elle nous éclaire en chemin, un pour chacune, une pour chacun. Tout comme nous, CÉLESTE vient d’assez loin pour avoir oublié ses origines. Choisissant sa destination, la Terre, il/elle épouse nos formes humaines, découvre la matière, expérimente la gravité. Récipiendaire ou messager, CÉLESTE vient à notre rencontre.

Spectacle musical et sans paroles .  Chaque marionnette est manipulée par 2 pilotes et 1 régisseur.  Formules: Une ou deux marionnettes gonflées à l’hélium.




Touche pas ma planète !

Une gamine, mi-sale gosse mi-magicienne, part en guerre contre les pollueurs patentés et ceux qui pensent que la terre leur appartient. Elle commence avec son Papy Pom, boomer climatosceptique, mais au fil des escarmouches, Gaïa se rend compte que tout n’est pas aussi simple qu’elle pouvait le penser. Changer nos comportements est un travail de longue haleine et pourtant le temps presse.




A la dérive !

Félix n’a jamais vu les vagues.
Il ne connaît qu’une mer calme et lisse à l’horizon.
Lorsqu’il était petit, son grand-père lui racontait l’histoire du grand cachalot, si grand qu’il entraîne la houle à chaque éclat de rire.
Aujourd’hui, c’est décidé, Félix prend la mer, pour trouver le grand cétacé et percer le mystère des vagues.

A la dérive est une épopée maritime musicale teintée de poésie où un abat-jour devient poulpe, un drap image l’océan, une baignoire, chaloupe de fortune.




66 millions d’années

Que s’est-il passé il y a 66 millions d’années ? La mort des dinosaures ? Oui !
Mais comment ? Les volcans en éruption? Un astéroïde? Oui ! En plein cœur.
Du Mexique, au Chicxulub pour être exact. Une photographie de l’impact nous permet même de nous le raconter. Mais qui peut nous dire ce qu’il s’est passé ? Personne. Personne… Et puis c’est quoi un dinosaure ? S’ouvre alors tout un imaginaire… n’est-ce-pas ?
Nous avons donc décidé de donner la parole aux dinosaures, à l’astéroïde, à la première femme paléontologue. Et aux sapiens enfin pour qui nous racontons cette mascarade.




Kant et autres contes

Un dialogue poétique entre conte, création sonore, ombres et marionnettes, à vivre en famille ! À partir de trois contes philosophiques de Jon Fosse, Kant, Noir et humide et Petite sœur, trois enfants découvrent le monde chacun à leur manière. Kristofer, 8 ans, s’interroge sur notre réalité et les limites de l’univers ; Lene, seule à la maison, décide de découvrir à tout prix les trésors cachés dans la cave, il lui faudra d’abord récupérer la lampe de son frère. Et enfin notre petit héros de 4 ans emmènera coûte que coûte sa petite sœur découvrir la mer. Chaque histoire nous plonge dans un monde à hauteur d’enfants…et dans la poésie de leur imaginaire…




La Dignité des Gouttelettes

La pluie qui perle au bout des doigts, une jardinière et ses coquelicots, la surprise d’un nuage, la déambulation d’un escargot sous la courbe d’un arc en ciel, une vieille pêcheuse et son poisson, une tempête miniature …
Dans une succession de tableaux dont la trame a la couleur des haïkus, La Dignité des Gouttelettes raconte le lien essentiel de l’eau et du vivant. Entre illusion et réalité, reflet et lumière, projections et manipulation poétique, cette création sensorielle invite à une rêverie qui éveille sur la merveille de cet élément de notre quotidien.




L’île au trésor

Le petit Jim Hawkins, qui mène une vie tranquille à l’auberge de l’Amiral Benbow, se retrouve par une série d’aventures en possession d’une mystérieuse carte au trésor. Aidé par ses amis, le docteur Livesey et le Comte Trelawney, il embarque à bord de l’Hispanola, à la recherche de l’Ile au Trésor. Mais l’équipage se révèle être en réalité une bande de pirates – menée par John Silver. Jim et ses amis réussiront ils à échapper aux pirates, à trouver le trésor et à rentrer sains et saufs en Angleterre ? Une adaptation du chef-d’œuvre de Stevenson pour théâtre d’objets.




Magic Fluo

il est plein de poésie, couleurs et d’humour.
Son spectacle est constitué de tableaux musicaux où chaque personnage fait partie d’un tableau et ainsi le fait vivre.
La musique est le principal fil conducteur, au delà des paroles et des mots.., tout le monde comprend
sa nationalité.




Anima

Au milieu de ses œuvres à taille humaine, un sculpteur modèle une femme en argile. Un danseur approche : à son tour il est recouvert de glaise…
Sous l’envoûtement des sonorités tribales du percussionniste Pierre Thibaud, un dialogue
nait entre les regards figés, pétris d’humanité, et le corps mouvant.
Tribalité, contorsionnisme, possession, dépossession. Le danseur se laisse emporter dans le
tourbillon de l’instinct et nous ensorcelle par une danse faisant écho à notre condition d’êtres de chair… et d’argile.
Anima veut brouiller les pistes et mettre nos repères en porte-à-faux.
Notre rapport au temps, à l’espace, au corps et à l’âme en est complètement bouleversé…




Madame Caroline

Le 3ème petit cochon était une fille. Vous aussi, vous l’aviez oublié ?
Georges raconte, images à l’appui, comment ça c’est vraiment passé.
Il présente le spectacle, mais Caroline s’invite. Par préjugé, il la met à la cuisine : c’est une fille !
Erreur.
C’est mal connaître celle qui, avec les casseroles, préfère jouer la salsa.
C’est mal connaître celle qui, grâce à son caractère – devenu célèbre – a sauvé ses frères du Loup.
Lui s’en souvient encore, il en est devenu végétarien.

Avec Kamishibaï, Ukulélé et batterie de cuisine.




Le Chant des Baleines

Si je n’ai pas connue ma mère c’est où chez moi ? d’où je viens ? où je suis ? où je vais ?”
Une jeune fille nous invite à un voyage au cœur de ses souvenirs.
Une question pourtant toute simple en apparence “C’est où chez toi ?” devient le point de départ
de sa quête, de son parcours singulier autour du monde pour retrouver son pays d’origine.
Sensible et teintée d’humour, une traversée au pays des images, des berceuses et des ombres,
abordant le thème de l’exil avec la douceur d’une berceuse.
Pour Jeune et aussi tout public un moment de partage à vivre en famille.
“La voix d’une mère qui berce son enfant n’a pas la couleur de sa langue
mais celle de l’amour qu’elle lui porte”




Les Boîtes

Fantaisie d’une durée de 50 secondes pour une personne à la fois, c’est une petite forme de théâtre d’objet minimaliste. Elle cherche en effet à attirer votre curiosité derrière l’oeilleton de deux petites boites. Ainsi, comme le disent les vieux adages, la curiosité est un vilain défaut…




Ulysse, L’Odyssée, L’Iliade et surtout l’Odyssée

Trois comédien·ne·s- marionnettistes, manipulent à vue ce monde Homérien, tel·le·s des dieux/déesses grec·que·s · tels des aèdes contemporains. Des origines de la querelle divine en passant par la guerre de Troie, de Nausicaa à Circée, avec Humour et délicatesse, les aventures d’Ulysse sur les mers nous sont contées. C’est un premier plongeon jubilatoire dans cette épopée pour les petits à partir de 8 ans, à déguster en famille.




InKarnè

En extérieur, on choisira les anciennes cours intérieures, amphithéâtres ou murs en ruines.
Une attention particulière est portée aux vieilles pierres et voûtes, qui font partie du décor
environnant : l’ancien, qui a vécu, la notion de sacré entre également en jeu.



French Coin Coin Circus

Très librement inspiré du “Vilain Petit Canard”, ce spectacle s’amuse des différences.

Celui qui nous inspire des préjugés est parfois celui qui nous épate. Les représentations peuvent se prolonger par un moment d’échanges et de discussions, dans le souci d’ouvrir notre regard sur l’Autre et le monde.




Un bébé à livrer

Une cigogne blessée confie le bébé qu’elle devait livrer à trois compères : un canard idiot, un lapin crétin et un gentil cochon un peu bougon. Leur mission est de le livrer à Avignon. Mais aucun des animaux ne sait où se trouve cette ville ni comment s’y prendre pour effectuer le trajet. Ils vont dès lors improviser au fil de leurs humeurs à coup de stratagèmes les plus improbables, et tenter d’échapper aux nombreux pétrins dans lesquels ils vont se fourrer. Dans une ambiance à la Tex Avery, le spectateur est emporté comme un ouragan dans ce road movie cartoonesque où la bêtise devient un symbole d’humanité. Les animaux sont les héros de cette histoire qui met en avant leur sens du lien et de l’amitié.




Les Souffrances de Job

Au-delà de la réécriture satirique du Livre de Job, qui nous ouvre des perspectives quant à la souffrance injustifiable, la violence des hommes au nom du sacré, et le douteux postulat de départ de l’homme strictement honnête, Levin brosse une fresque de l’absurdité de la violence, ses différentes mises en scène, et questionne avec cynisme et
mystère la nature humaine. Nous souhaitons, mêler ce cri de désespoir à notre palpitation joyeuse de jeunes acteurs, avec l’espoir vif que ce théâtre de la cruauté a un pouvoir d’ouverture et peut être déclencheur si ce n’est d’action, au moins de pensée, de discussion et de remise en question.




La Dame Blanche

Elle, figure féminine et sage, puissante et sobre ; Eux, brillants et grotesques. L’image est belle, poétique et étrange. En ces temps troublés, suite à la pandémie et au confinement, nous ressentons d’autant plus le besoin d’offrir des instants suspendus et magiques au public. La construction de cette marionnette de grande ampleur est apparue comme une évidence en Mai 2020, face à la fermeture des salles, l’annulation des spectacles, et les difficultés
de donner lieu à des rassemblements. Une marche poétique et simple donc, qui peut se marier avec d’autres événements, d’autres artistes, des marchés de villages, diverses Festivités, etc.




Histoire d’en Lire

Ce conte festif et coloré met en scène six personnages chatoyants dans une suite d’incessants rebondissements où se mêlent rires d’enfants et facéties des personnages. Inspiré du théâtre de marionnettes du siècle dernier, ce spectacle est joué dans un castelet à l’italienne, en trois actes et trois décors. Traditionnelle mais sans cesse renouvelée, cette comédie interactive repose sur la connivence entre le public et les personnages : là réside la magie de ce spectacle. Spect”acteur”, le public a donc l’opportunité d’intervenir et suggérer des solutions pour aller plus en avant dans l’histoire, résoudre l’intrigue ou tout simplement saluer un personnage… Dans cet état d’esprit ils découvriront le village de pacotille et feront la connaissance de  M. Babiole le vieux brocanteur, ainsi que Claire et Léopold avec qui ils se lieront d’amitié…




Le monde impertinent d’un petit bonhomme

C’est le public qui en parle le mieux ! ” … je dois avouer que je garde un faible pour votre petit bonhomme… bien que je me souvienne de la première impression qu’il m’avait faite … comme une légère aversion (ne lui dite pas, il pourrait mal le prendre et je ne voudrais pas lui faire de tort !). Oui, je reconnais que son teint blafard et son crâne dégarni, sa façon de bouger, à la fois rapide et douce, la façon dont il s’accrochait à vos habits et ses petits yeux perçants qui brillaient dans la nuit et qui fixaient les passants n’avait rien de rassurant. Mais c’est là où je trouve votre marionnette fascinante. Elle m’a d’abord intriguée, puis repoussée, puis hypnotisée ! Je suis restée “scotchée” devant votre si jolie complicité. Et puis, j’ai pu lire un peu mieux les traits de son visage, sa douceur et son si joli sourire… Je suis véritablement sous le charme de ce petit bonhomme.”




les Filles de l’air

Entre ciel et terre…en équilibre sur la ligne d’horizon… Mme De Dégonflé évolue avec son ballon accompagnée par une mécanicienne aux petits soins…Un étrange volatile et son écuyère tournoient sur le ciel du bitume et nous invitent à les suivre… Déambulation onirique sonorisée, qui flotte entre rêve et réalité.. Et d’un coup d’aile au firmament nous envoient en l’air !! À la recherche d’un paradis perdu, les comédiennes improvisent avec le public, et lorsqu’elles «atterrissent», leur naufrage parmi les spectateurs se transforme en un spectacle drôle et poétique.




La mer

Partager la passion de Bruno et Saïda pour la mer et le ciel, parcourir les océans et voyager sous les étoiles, retrouver ses racines pour Saïda.. Accueillir la naissance de Maud leur enfant. De la poésie et du rêve pour un voyage initiatique. Thèmes abordés au fil de l’histoire: la réalisation de soi, la mixité, l’adoption, la migration, la naissance. Le spectacle se regarde comme un conte visuel. Les marionnettes à table faites en papier mâché portent une présence fragile et sculpturale. Elles portent aussi un idéal: l’Amour avec un grand A. Un spectacle pour se faire du bien, y croire, redonner espoir à ceux qui en ont besoin, apporter de la confiance, du courage et un brin de bonheur.




Petites Migrations

« Un petit personnage vulnérable se laisse absorber par une larme de tristesse. Elle le conduit au cœur des paysages de son imagination… Quels chemins emprunte une goutte de larme pour rejoindre l’océan ? Que se passe-t-il en nous à l’instant où le vent s’arrête de souffler ? Qu’y a t-il sous la terre ? Peut-on atteindre le Soleil ? Les souffleurs d’oiseaux existent-ils ? De ces lieux étranges, l’enfant, guérit de son chagrin, reviendra rempli d’allégresse… ». Les ombres des « Petites Migrations » éclairent les liens qui nous unissent aux éléments primordiaux, aux différents règnes du vivant et ce qui bien que changeant ou invisible, fonde notre existence.




Celle qui regarde le monde

Un spectacle captivant qui s’adresse à la sensibilité adolescente où chacun cherche sa place dans un monde où les rêves participent de la construction du réel. « Déa est comme le lierre qui prend racine d’un sol à l’autre, qui change de forme en fonction de ce qu’il rencontre sur son chemin » Alexandra Badéa. La pièce nous plonge de manière sensible dans l’histoire de Déa, jeune fille interrogée par le commissaire, qui raconte sa rencontre avec Enis un migrant. Le spectacle convoque les matières du théâtre d’ombres pour montrer ce que perçoit Déa des normes aléatoires du système; pour donner corps aux espoirs et rêves des personnages, pour les aider à trouver une place dans le monde.




La Gadoue

“La gadoue” est une bulle poétique qui s’adresse aux touts petits sans oublier les plus grands qui les accompagnent.
Au tout début, le bruit de la terre résonne, étonne. Un cadeau est laissé sur scène. On traverse le temps et nous voici chez la femme en jaune qui patine gaiement dans son intérieur tout blanc. Elle découvre le cadeau : de la terre… Alors… Elle creuse, trifouille, farfouille dans la terre. Elle découvre le contact avec la terre, son odeur, sa texture. On peut transformer cette matière. Elle y ajoute un peu d’eau et comme par magie, les formes apparaissent. Encore un peu et c’est la gadoue où l’on patauge gaiement. Et on est couvert de terre et on en rit…




Le coffre à mots

Il était une fois deux fées extraterrestres, Bella et Zena. Elles habitent la planète aux livres ; un monde merveilleux où les livres pousse sur les arbres. Les enfants, dès leur plus jeune âge, baignent dans les histoires extraordinaires. C’est un endroit où il fait bon vivre. Seulement un jour arrive, le Pagivore, un monstre terrible qui raffole des livres ; Non pas pour en découvrir les jolies histoires, non… mais plutôt pour dévorer les pages de papier. Peu à peu, le savoir, l’imagination, la liberté périssent. Les enfants ne rêvent plus, ce monde si joyeux sombre dans une profonde tristesse. ! Le Grand Conseil du Savoir se réunit et décide d’envoyer ses deux fées préférées sur terre pour trouver le COFFRE A
MOTS, malle magique qui contient toutes les histoires de l’univers, et ainsi le ramener et repeupler leur planète de livres… Seulement dans leur quête, le Pagivore les suit, attiré par l’illettrisme de Bella…. Seront-elles le vaincre ?!




Boule de Neige

Inspirez… l’Alpe mythique est là, sous vos yeux ! Véritable cabinet de curiosités ambulant, un œuf de télécabine “vintage” à roulettes renferme en son sein de multiples sujets ô combien évocateurs. Dahu, cor des Alpes, caquelon à fondue, “téléféérique”, Saint-Bernard, Heidi, béquilles, or blanc… tout le petit monde montagnard s’anime sous vos yeux entraîné par le mécanisme d’une fantastique machine cinétique. Réalisé par le sculpteur suisse, Pascal BETTEX, le virtuose européen des machines à engrenages à la “Tinguely”, ce drôle d’œuf se déplace seul emmené par un manipulateur dissimulé dans le public. Le tout dans un tourbillon de neige et de brouillard, sous des yoddles hard rock qui vont vous rafraîchir les méninges !




Sakur’Amor

Voici l’histoire d’une petite fille, Anika et de sa rencontre avec l’esprit de la Nature. Récemment arrivée dans un village éloigné de tout, Anika, déboussolée par tant de changements et par sa difficulté à s’intégrer, trouve refuge au cœur de la forêt sacrée. C’est là qu’elle fera la connaissance de deux étranges oiseaux bavards, Panku et Kizoku. Grâce à eux, elle va rencontrer la princesse Sakura, source de vie et protectrice du village avec qui elle va se lier d’une profonde amitié. Sakura lui enseignera les cycles de l’existence, l’amour de la nature et l’harmonie entre tous les êtres qui peuplent ce monde. Cependant, l’ignorance et la convoitise des hommes va venir troubler ce fragile équilibre. Les deux amies parviendront-elles à se détourner d’un destin tragique ? L’échange et le respect seront-ils suffisants pour contrer la menace d’extinction qui pèse sur la forêt ?




Poucette

Dans le sable, des images apparaissent, disparaissent, s’enroulent autour d’une musique…
Devant les yeux et les oreilles des spectateurs, une histoire se dessine : celle de Poucette, l’enfant immense et minuscule.
Projection en direct de dessins dans le sable, sur un air de conte…
Une expérience unique, un voyage poétique sans parole où le dessin et la musique expriment toute leur puissance narrative.




Chandelle

Ce spectacle est à la fois du théâtre visuel et du théâtre gestuel.
La musique est une composition originale de David Lesser.
Le personnage en scène subit le froid puis le chaud, il contemple les effets de la petite bougie et entraîne le spectateur dans une rêverie autour du feu. Plusieurs émotions parcourent cette histoire, du mal être au bien être en passant par la peur, la tristesse, puis la joie. Le spectacle s’articule du réel (utilisation d’une flamme) au virtuel (projection de vidéo de feu, puis d’images en concordance : feu de bengale, d’artifices, bougies d’anniversaire) et s’achève dans l’abstraction (projection de dessin, peinture).




Concierto en Arena

Expérience audiovisuelle sensible, Concierto en Arena est un jardin suspendu où sable et musique s’épousent en une balade poétique.
La délicate immersion dans l’image et le son invite à un voyage intime, offrant à chacun le loisir de se laisser porter par ses émotions.
Espace de liberté pour l’imaginaire, nourri d’évocations et de figures fugaces, on en revient troublé comme au sortir d’un rêve.




Belles mimines

Cette petite forme à quatre mains et deux voix est spécialement conçue pour les tout-petits.
Elle nous propose des tableaux poétiques où l’on retrouve les incontournables jeux de doigts de la tendre enfance, des comptines, des chansons et du théâtre d’objet avec des animaux, des légumes, des petits poissons, un poireau, et bien d’autres…

 




Ce n’est pas commode

Le Public se délecte des prouesses complètements déboîtées, voir déjantées de cet homme-commode, mi-clown, mi-magicien. Derrière ses lunettes orange il a plus d’un tour dans son sac, ou plutôt plus d’un tiroir dans sa boîte, d’où s’échappent fleur ou papillon.

L’hurluberlu à la cravate récalcitrante réalise d’improbables constructions à la poésie débordante. Roi du diabolo, prince du yoyo, musicien de l’absurde. Il finira en parfaite fusion avec sa commode !




Pile ou Face

Pile 

Deux Anges gardiens apparaissent, ils ne savent pas voler.
Sur le dos, à la place des ailes, d’étranges castelets.
A l’intérieur, il y a deux personnages, Mario et Giuseppe – deux marionnettes
à main – qui, dans cette première partie, ne sont pas visibles du public.

Face

Nous changeons de dimension, de langage et d’espace.
Les Anges à taille humaine, laissent la place aux marionnettes et à la parole.
Le rideau se lève. La musique s’endort, la parole prend place. Mario et Giuseppe entrent en scène. Ils vont créer de liens avec les spectateurs, comme des vieux voisins. Ils nous amènent dans des pays imaginaires, des pays de rêves. Les étranges castelets se transforment en fenêtres…




Portes !

C’est un livre géant qui s’en prend à son lecteur, l’entoure, le croque, l’avale. Un labyrinthe où l’on se perd, se cherche se trouve, et qui se métamorphose. Au fil des pages des portes apparaissent. Notre héros va-t-il les pousser, les traverser, se dépasser ? Les ouvrir, c’est se plier à l’histoire, les fermer c’est rompre la magie. Drôle de choix pour un clown qui a à faire a une redoutable poignée qui lui joue des tours. Un livre qui nous dépasse, nous trans-Porte, nous dé-Livre… Un origami d’émotions qui se pli en quatre pour notre plus grand plaisir !




Semeurs de Rêves

Les grisevillois avaient toutes sortes de croyances, de celles qui figent les pensées et les gens selon qu’ils soient hommes ou femmes, jeunes ou vieux, riches ou pauvres, à plumes ou à fourrure. Gare au grisevillois qui ose sortir du rôle qui lui est destiné !

Deux étrangers, deux semeurs de rêves, vont s’installer à Griseville et bousculer le quotidien de ses habitants. Les enfants d’abord puis bientôt les plus grands vont interroger leurs croyances, briser les frontières, écouter leur cœur et prendre la route de leur plus grand rêve avec courage, patience et persévérance.

Des arts mêlés mis au service d’une histoire qui interroge nos rêves et notre liberté à devenir ce que l’on pourrait être envers et contre toute conformité.




Plume

Plume est une invitation à la rêverie, un parcours poétique drôle et sensitif. Bulle poétique, non narrative inspirée par la douceur, la fragilité et la légèreté de la plume.

Petit théâtre itinérant et autonome, il s’installe dans une cours d’école, devant un théâtre, sur une place de village. Dans cet écrin tout est fait pour rassurer l’enfant, un cocon organique parsemé d’étoiles où il s’installe confortablement.




Yes futur

« Yes futur » l’histoire d’une rencontre entre Rita, une Mamé en fugue, qui refuse d’aller en maison de retraite et une petite communauté animale. Rita va découvrir que ce petit coin, qu’elle pensait n’être qu’un tas de poubelles et de cartons, est une véritable petite « Oasis » auto organisée par Kiki, un rat engagé dans l’écologie et la solidarité au quotidien.
sa mission : Trouver des solutions alternatives, écologiques , économiques, et solidaires, pour répondre aux besoins de sa petite communauté mais aussi à celle des humains qui lui causent bien du souci !
Rencontre inattendue qui va agrandir ce petit collectif, malgré les a priori vis à vis du genre humain.
La rencontre de deux mondes ( humain/ animaux ) que tout sépare de plus en plus, mais qui, face à l’absurdité de ce monde moderne et à ses aberrations, ont énormément à partager.




Papossib

Lili a perdu son ours en peluche. Perdre quelqu’un qu’on aime, ça veut dire qu’il disparaît pour de vrai, pour toujours. C’est possible ça ?
A l’intérieur d’un castelet butai (technique japonaise du kamishibai) une conteuse fait défiler des panneaux d’illustration aux dessins épurés et naïfs. Elle évoque l’histoire simple et universelle d’une petite fille confrontée à la disparition de son doudou.
La lumière s’invite dans ce théâtre de papier pour créer des effets inattendus. Les spectateurs, petits et grands, sont transportés dans un univers tendre et poétique, une petite bulle de douceur aux parfums d’enfance




L’homme aux loups

Trois interprètes (à la fois comédien, conteur et musicien) donnent corps au conte d’Anne Jonas, fable d’espoir sur la puissance des mots et l’humanité qui réside en chacun de nous.
Un château battu par les vents, une reine belle comme les jours de bonne vie, une trahison, un roi tourmenté, une cavalcade sous l’orage, des loups, une vieille et sage nourrice…
Au son du violoncelle, le théâtre d’ombres se mêle aux scènes jouées pour rendre toute la magie de ce conte envoûtant et plein de mystères.




Les trois brigands

Trois vilains brigands avec leurs grands manteaux noirs et leurs grands chapeaux noirs écument les routes pour dépouiller les voyageurs, jusqu’au jour où ils rencontrent Tiffany, une petite orpheline…Dans cet album, Tomi Ungerer nous raconte que le pire des hommes peut s’amender et devenir le meilleur des pères…. Aucune sensiblerie ou mièvrerie dans le récit mais juste les mots qu’il faut pour raconter cette histoire de brigands repentis et de petite fille qui préfère la liberté et l’aventure à la sécurité.
Guitare, trombone, flûtes, concertina et petites percussions pour accompagner les chansons, marionnettes de papier, décors qui se déploient, jeux d’ombre et de lumière, ambiances sonores jouées en direct… pour frémir, trembler, se moquer, s’enthousiasmer, rêver…