Anima

Au milieu de ses œuvres à taille humaine, un sculpteur modèle une femme en argile. Un danseur approche : à son tour il est recouvert de glaise…
Sous l’envoûtement des sonorités tribales du percussionniste Pierre Thibaud, un dialogue
nait entre les regards figés, pétris d’humanité, et le corps mouvant.
Tribalité, contorsionnisme, possession, dépossession. Le danseur se laisse emporter dans le
tourbillon de l’instinct et nous ensorcelle par une danse faisant écho à notre condition d’êtres de chair… et d’argile.
Anima veut brouiller les pistes et mettre nos repères en porte-à-faux.
Notre rapport au temps, à l’espace, au corps et à l’âme en est complètement bouleversé…




InKarnè

En extérieur, on choisira les anciennes cours intérieures, amphithéâtres ou murs en ruines.
Une attention particulière est portée aux vieilles pierres et voûtes, qui font partie du décor
environnant : l’ancien, qui a vécu, la notion de sacré entre également en jeu.