Le périple very dangerous de deux british explorers très très perdus. Une épopée sauvage au cœur de l’espace public parmi d’insurmontables bosquets, abribus, poteaux, bancs, et autres précipices. Un regard inattendu sur la rue, qui lui donne de manière improbable, une dimension de paysage. Un duo influencé par l’imagerie et le langage du cinéma muet de Chaplin et Lloyd. Nos deux explorateurs ne sont ni au bon endroit, ni au bon moment. Devenus inutiles, derrière eux tout s’écroule comme des ponts de neige. En situation de survie, ils fuient comme une espèce en voie de disparition. « Nous n’avions plus d’autre choix que celui d’avancer, derrière nous nos chemins sombraient un à un ».

Le 3ème petit cochon était une fille. Vous aussi, vous l’aviez oublié ?
Georges raconte, images à l’appui, comment ça c’est vraiment passé.
Il présente le spectacle, mais Caroline s’invite. Par préjugé, il la met à la cuisine : c’est une fille !
Erreur.
C’est mal connaître celle qui, avec les casseroles, préfère jouer la salsa.
C’est mal connaître celle qui, grâce à son caractère – devenu célèbre – a sauvé ses frères du Loup.
Lui s’en souvient encore, il en est devenu végétarien.

Avec Kamishibaï, Ukulélé et batterie de cuisine.

Une clownerie (vaguement) historique. Ce spectacle raconte l’histoire de l’humanité de la préhistoire aux droits de l’enfant vu à travers des personnages de clown qui vous font revivre ses principaux épisodes… à leur manière.
Sur fond de danse, de musique endiablée et de bonne humeur, les clowns Al et Jean-Pi rivalisent d’imagination et de délire.

La tradition clownesque est respectée. Ainsi, le personnage de Al est l’Auguste, le pitre, tandis que Jean-Pi est le clown blanc qui rappelle à l’ordre. Après un accueil en jeu et une parade, les clowns improvisent sur le thème de l’histoire de l’humanité. Une comptine gestuelle est proposée et chantée ensemble.

Celui qui nous inspire des préjugés est parfois celui qui nous épate. Les représentations peuvent se prolonger par un moment d’échanges et de discussions, dans le souci d’ouvrir notre regard sur l’Autre et le monde.

Plus de 30 vélos UNIQUES EN FRANCE, conçus et réalisés par Yoyo, sont disponibles. Yoyo les fait essayer au public (fous rires garantis) : il n’est pas si simple de maîtriser un vélo « chewing gum », de se retrouver sur un tandem face à face ou dos à dos, de guider un tandem pour 7 personnes, de pédaler sur un vélo « shadock », « harley », un tandem « côte à côte » ou un vélo « siamois » ! Et pour les plus petits, même ceux qui ne savent pas encore faire de vélo, Yoyo a inventé des vélos aussi farfelus que ceux des grands.

Déboires c’est l’histoire d’un personnage à la terrasse d’un café, un cow-boy au chapeau, un dandy maladroit qui commande un verre d’eau, un verre d’eau pour plonger dans un imaginaire peuplé de sons étranges et de bruits insolites. Un spectacle musical, visuel et sonore où les bruitages se font à vue et en direct avec pour références l’univers de Jacques Tati, les grands burlesques du cinéma muet ou encore les Monty Python…

Dans une ambiance décalée, THE KING OF THE KINGDOM décide de moderniser son image et de se lancer à la reconquête de ses sujets pour conserver son pouvoir. Il s’entoure d’une nouvelle équipe : un musicien intérimaire à la nationalité incertaine et une Chargée en Communication, le Grand Chambellan, dévouée mais dépassée. L’arme de la reconquête du pouvoir est alors en marche mais la démocratie participative vaincra et libèrera le Peuple par la Force du Poireau !

« L’Envol de la Fourmi » est une création atypique. A travers ce rêve fou d’apprendre à voler, des éléments très concrets de la vie des poules dessinent de drolatiques tableaux de notre humaine condition… Fourmi, clown un brin déséquilibrée, sensible et maladroite, tisse une complicité unique avec ses partenaires de jeu, comme un instant suspendu, une tranche de vie singulière où, dans la découverte de l’autre, les émotions traduisent les fragilités de l’existence. Et là, tout près du creux de soi, on découvre un monde où les poules dansent sur un fil et où la liberté devient celle que l’on se donne à soi-même.

« Une rencontre sidérale entre la fée Mélodie et la clown Marcelle : Un filet à météorites, des chaussures du vent, une poubelle magique, un arbre à notes, des casseroles de pluie, un mur des sons et une chanson merveilleuse… pour s’envoler ensemble ! « La fée Mélodie, en panne d’inspiration, a convié Marcelle pour la sauver. Quelle idée : Marcelle ne connaît rien à la musique et chante comme une casserole ! Elle ne rêve que de s’envoler dans les airs. Mais magie, surprise, et clownerie viendront peut être à son secours pour l’aider à composer la chanson merveilleuse de Mélodie et qui sait… à s’envoler aussi !

Le clown et le conte, deux approches différentes qui présentent des similitudes : toutes deux se réfèrent à l’imaginaire et viennent toucher cette partie de l’âme qui garde la naïveté de l’enfance. Le clown, ami des enfants et anti-héros vient prendre le public par la main pour l’amuser et l’emmener vers le héros, qui le fera voyager et réfléchir sur l’altérité.
De la rencontre entre ces deux univers naît un rythme naturel qui balance entre l’effervescence provoquée par le personnage clownesque et l’attention que nécessite l’écoute du conte, genre théâtral particulier, parenthèse exotique et pédagogique.

Mike Tiger, a.k.a. Michel le Tigre, est un véritable showman! Il adore la scène, la lumière, les foules et surtout lui-même! Pour son public, il brille de toutes les facettes de sa boule disco intérieure: Diabolo, synthétiseur, hoola hoop, rythme et danse. Il donne tout, tout seul. Mike Tiger est un spectacle plein d’énergie, dans lequel le spectateur est témoin des hauts et des bas de ce crooner raté, en recherche de reconnaissance…Fidèle à sa formation aux arts clownesques, Philipp V. propose un spectacle sensible et burlesque qui par le biais de l‘humour et de l‘autodérision parviendra à toucher et à émouvoir son public.

La talentueuse coach Katarina vous présente son jeune champion Igor, inscrit à la prochaine édition d’un grand Concours.
Pour optimiser ses chances aux épreuves, Igor doit se préparer à tous les niveaux : présentation, sécurité du public, danse, jonglage, équilibre… Poussé par les encouragements parfois débordants de son coach, il sait qu’il devra faire de son mieux.
C’est Goliath qui montre que, peu importe le candidat, il en fera un David !
Une mise en dérision du monde compétitif, qui donne tout le côté burlesque du spectacle, pour les enfants comme pour les adultes.

C’est un livre géant qui s’en prend à son lecteur, l’entoure, le croque, l’avale. Un labyrinthe où l’on se perd, se cherche se trouve, et qui se métamorphose. Au fil des pages des portes apparaissent. Notre héros va-t-il les pousser, les traverser, se dépasser ? Les ouvrir, c’est se plier à l’histoire, les fermer c’est rompre la magie. Drôle de choix pour un clown qui a à faire a une redoutable poignée qui lui joue des tours. Un livre qui nous dépasse, nous trans-Porte, nous dé-Livre… Un origami d’émotions qui se pli en quatre pour notre plus grand plaisir !

Dobran nous conte son histoire familiale tourmentée autour de la tradition du cirque, des souvenirs sur les routes avec son frère Zork et ses ânes Zaskia et Boris. Une époque où faire leurs numéros de cirque était leur manière de tenir debout. Dobran aime jouer avec le public qui retient son souffle quand il fait revivre Zork escaladant sa montagne de caisses, ou courant derrière son diabolo indomptable. Dans un face à face avec son frère absent, Dobran nous parle de leurs joies, d’exil et de quête d’identité. Avec son décor en bambous, son lecteur cassette d’Istanbul et des performances étonnantes, il présente un spectacle emprunt de moments de tendresse, de joie, de tristesse… d’humanité

M. Bankroot décide d’abandonner sa vie de banquier pour travailler dans un cirque. Il se rêve dompteur de fauve, équilibriste, musicien, jongleur… mais certainement pas clown !
Mais les tests d’entrée ne trompent pas : il est fait pour ce qu’il rejette !
Entre numéros classiques et trouvailles hilarantes, un solo de clown drôle et tendre où l’on assiste à la rencontre d’un homme avec son destin !

Un spectacle participatif et familial.

“ C’est parce que, à trois c’est pire, que c’est mieux ! ”
Le Grand Orchestre de Poche est un trio de clowns passionnés par le Ukulélé.
Ils veulent rendre ses lettres de noblesse à ce petit instrument si souvent moqué. Pour eux, l’amour du ukulélé est immense et le plaisir d’être présents est énorme. Ce soir c’est “ le grand soir “ de leur premier récital. Un concert qui tourne à la catastrophe pour notre plus grand plaisir.

« Odysseus » signifie « Ulysse » en grec ancien. C’est aussi le nom du radeau sur lequel les clowns, Marco et Polo, dérivent sur les flots.

« Odysseus, ou l’histoire d’Ulysse racontée aux petits et grands » est notre première création commune. Nous avons voulu, à travers ce spectacle, nous approprier l’oeuvre d’Homère pour la rendre accessible à tous. Nous ne voulions pas en faire un spectacle trop sérieux et grandiloquent mais au contraire, le rendre décalé et amusant. C’est pourquoi, durant l’écriture du spectacle, nous avons souhaité parsemer l’univers homérique de nos propres références. C’est de cette volonté que sont nés les personnages de Marco et de Polo, deux petits clowns naïfs et attachants.

Comme décor, nous avons opté pour un simple radeau, embarcation de fortune que ces petits clowns se sont fabriqués pour ressembler à leur héros favori : Ulysse ! Sur ce radeau se trouve un coffre rempli de bric et de broc, dans lequel Marco et Polo piochent des objets leur permettant de créer leurs aventures. À la manière des enfants qui jouent, ces objets se transforment au gré de leur imagination.

L’illustration dans une bande dessinée d’un homme avec une valise quittant son pays pour aller travailler à l’étranger a été la source de mon inspiration pour ce spectacle.
Cela a fait écho à mon histoire familiale et au parcours de vie de mes parents immigrés italiens venus travailler en France dans les années 50. Mon travail de comédien clown a alors pris tout son sens. Il a trouvé sa place entre mes souvenirs d’enfance et mon expérience du spectacle jeune public.
Les images constitutives de ce spectacle me sont alors venues tout naturellement : la valise qui nous prépare au voyage, le train qui nous emmène vers l’ inconnu et enfin l’accent italien inspiré de mes origines. La magie tient également une place importante, car j’aime mêler son pouvoir de fascination à la sensibilité et à la poésie véhiculées par le personnage du clown.
C’est de cette façon et en collaboration avec Olivier Labiche qu’est né : « Karabistouille « .

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La merveilleuse rencontre d’un clown et d’une marionnette va leur ouvrir les portes de l’imaginaire. Ensemble ils vont rêver au plus beau des spectacles mêlant tours de magie, dressages de tigre, acrobaties…

Une belle histoire qui tiens à la complicité que ces 2 personnages instaurent avec le public. Un spectacle rythmé entre rire et émotion. Tout en fous rires et tendresse.

Cirk’Alors ! c’est avant tout du cirque raconté par un clown.
Un petit cirque traditionnel revu et corrigé à la sauce actuelle. L’idée est de retranscrire tous les codes du cirque d’hier (performance, piste, numéros, dressage d’animaux, chapiteau…) dans un spectacle intime et de s’en amuser. Le cirque s’immisce alors là où on ne l’attend pas.
Assis devant le bord de piste en rond tout autour, les enfants partagent l’instant présent du clown et deviennent complices de ses facéties. Lui est à l’écoute de leurs réactions pour rythmer les numéros. La scénographie circulaire, emblème du cirque, permet aux spectateurs de partager leurs émotions et créer un dynamisme de jeu incomparable. Tous les ingrédients du cirque sont là sauf que lui est tout seul et qu’il devra faire preuve de beaucoup d’originalité pour embarquer tout ce monde dans son univers.
Du coup, l’histoire se lit davantage à travers ce personnage clownesque qui prétend faire son cirque, que dans la succession des numéros. Numéros qui se veulent originaux, toujours en lien avec les techniques des arts du cirque, mais repensés pour renouveler le genre.
Cirk’alors ! revisite ainsi le thème du cirque, les repères en tout genre, sans aucune moralité, ni défis particulier, juste pour le plaisir de s’échapper du quotidien, le temps d’un tour de piste.

Monsieur Mouche est factotum, l’homme à tout faire du théâtre. Mais il fait quoi ?
La plupart du temps rien. Il attend qu’on ait besoin de lui pour changer une ampoule, graisser une porte. Cela laisse du temps pour s’amuser…
Son temps il le passe à faire de la musique et chanter des chansons. De la famille des grands naïfs, drôle, touchant, humain, Monsieur Mouche est un concentré d’optimisme. Il vous entrainera dans son univers burlesque avec une maladresse hilarante.

Un duo survolté et inoubliable au regard incisif. Un spectacle mené par Pénélope Berthier et Philomène
de la Souche, deux conférencières clowns.
On pourrait s’attendre à tout, se projeter dans quelque chose de déjà vu, de trop littéraire, de trop clownesque, de trop sérieux, de trop ennuyeux…Il n’en est rien… Habilement, elles nous entraînent dans leur univers singulier et dans celui de W. Shakespeare. En sortant, nous garderons longtemps en tête cette conférence menée tambour battant.
La Cie Le Théâtre du Chapeau tourne des spectacles de clown en France et dans le monde depuis 30 ans.

Un spectacle mêlant clown et performances acrobatiques, dans l’univers burlesque de Chaplin et Buster Keaton. Une comédie accidentogène millimétrée où les cascades burlesques sont langage. Ce spectacle convient à tous les publics et tous les pays !
C’est la pause au camping Belle Étoile pour deux randonneurs chargés à bloc. Porter le fardeau, camper le décor, déballer son sac, gérer la gourde, astiquer sa plus belle gamelle… et enfin buller ! Simple en théorie, leur installation devient la véritable montagne à gravir ; l’organisation du bivouac de l’un ne faisant pas toujours le bonheur de l’autre.