Dans la plus pure veine du bateleur forain, à mi chemin du charlatan de foire et de l’illusionniste, l’illustre docteur Pinardier, qui a prêté sarment de Picrate, vient nous vanter les mérites du vin qui mérite son titre de panacée universelle.Plein de sa mauvaise foi ( mais toujours au service du vôtre) et rempli de ses certitudes médicalement prouvées par l’université de Vinasse, notre bon docteur secondé par sa fidèle assistante Millésime nous rappellera les prescriptions de conseil du Désordre .

Avec lui, l’apéro se fait sur indication médicale, le toast se transforme en acte curatif et le lever le coude devient exercice thérapeutique…

Le salon du vin comme une gigantesque échoppe de pharmacie en plein air, où les thermomètres servent à donner les températures exactes de dégustation, les perfusions sont riches en tanins, et les ordonnances prescrivent des caisses de 6 bouteilles.”

Le vin est un médicament, comme pour tout les médicaments bien lire la notice avant emploi, respecter les quantités et consommer avec modération. Si vous avez besoin de conseils : demandez à votre détaillant où dans la cave la plus proche.

EMBOUTEILLAGE est un spectacle d’univers. Celui de la voiture qui devient un lieu de vie et le lieu des vies. Les spectateurs seront installés dans un huis clos qui leur semblera à la fois familier et dépaysant: la voiture. Plusieurs véhicules, autant de scènes. Pour changer d’histoire, il faudra changer de voiture. Le spectateur sera le passager. Les warning sont allumés les gens peuvent rentrer dans les voitures …les Warning sont éteints la voiture est complet et les histoires commencent …

Dans chaque voiture (minimum 12) une histoire différente qui dure en moyenne 4 min. Dans chaque voiture possibilité de 3 à 4 spectateurs . La performance dure 2h à 3h suivant le nombre de spectateurs.

Ici vous n’êtes pas au théâtre mais en classe et le prof accueille les spectateurs qui, le temps d’un cours d’histoire, redeviennent des élèves. Parmi eux, un cancre, redoublant multirécidiviste cumulant 20 ans de 5e !
Le prof va devoir déployer tout son talent et son savoir pour faire revivre l’histoire et lui redonner l’envie d’apprendre. Sauf que plus il détaille les faits, plus le cancre va enchaîner les pitreries et plus l’histoire bascule dans la folie.
Le public aussi est invité à jouer leur rôle. Délégués, cancres ou fayots, chacun participe à sa manière. Et quand la cloche retentit, on se rend compte qu’on a qu’une envie : continuer d’apprendre en s’amusant !

Ce texte d’Eric Beauvillain dédié au jeune public est servi avec générosité et humour dans une mise en scène pleine d’énergie et de fantaisie.
Le comédien, touchant et espiègle nous emmène dans un monde fantastique hors du temps.
Ifo, habitant de la planète Maya, est envoyé sur Terre pour aider le jeune Milo à retrouver la joie de vivre. Leurs aventures sont l’occasion de faire découvrir à l’enfant l’Autre et le respect de l’Environnement à travers les notions de lien intergénérationnel et de tolérance.
A la frontière entre théâtre, cirque et chanson, cette création s’appuie sur un décor virtuel interactif qui bouscule le rapport au cadre habituel comme une invitation au voyage !

Composé de jeux de doigts, jeux de mains, chansons à gestes, originaux et traditionnels, ce concert-spectacle invite le public à participer. Intimiste, poétique et tendre, Mamie-Minots est destiné aux tout-petits et aux plus grands qui les accompagnent afin que tous, toutes générations confondues, goûtent au plaisir de faire ensemble ces jeux où mains et mots  s’entremêlent. La mise une scène originale, bi-frontale, permet à chacun de voir, ce qui est rare, mains de dos, mains de face, artistes dos à dos, face à face, face à main, de dos ou de farce (!!) à quatre mains plus les vôtres.

Créée à Montpellier en 1998, cette formation a pour but de diffuser et de faire vivre le patrimoine musical cubain en Europe et dans le monde.
Elle est constituée de musiciens d’horizons différents, partageant tous la même passion pour cette nébuleuse festive qu’est la musique latino-américaine.
Cet orchestre languedocien séduit les danseurs et aficionados du répertoire traditionnel : Son, cha cha, guarachas, boléro, guajira… par ses arrangements originaux, son orchestration moderne et ses interprétations énergiques des grands classiques cubains. Des compositions sont également au programme.

Quand une fanfare de redoutables Saltimbanques, rodée aux déambulations de rue, fait exploser en couleurs les standards du navire New Orleans, ce sont tous les sens qui chavirent sous les envolées d’un swing survolté. Ressentez la fièvre d’une énergie musicale cuivrée où le jazz est sué pour que le public puisse danser et chanter.

Les envolées du saxophone soprano répondent aux accents percussifs de la trompette et du trombone pendant que le banjo, le tuba et la caisse claire soutiennent avec cadence une rythmique qui rappelle l’ambiance de la Nouvelle Orléans.

Ce monologue tragique et drôle nous raconte le plongeon vers la solitude et la folie d’un contrebassiste.
Le contrebassiste nous décrit avec passion les liens qui l’unissent à son instrument, humanisant à l’extrême l’objet musical de son désir. Mais bientôt l’éloge pompeux laisse affleurer les frustrations et les rancœurs du musicien et de l’homme. On découvre au fil des scènes que derrière cette fascination absolue, se cache une haine à l’encontre de cette contrebasse, encombrante et envahissante.
Et peu à peu cette haine d’abord refoulée s’exprime, se déchaîne et explose jusqu’à la folie…

Ce qui est sûr à propos de ce spectacle : c’est qu’on y parle de magie.
Pour le reste, on ne sait pas trop. C’est un récital qui se barre en foutraque, c’est une voix et un clavier aux sons multiples, c’est un homme et une femme au plateau.
On sait qu’on y écoute des mots, des notes, qu’on y rit, qu’on y rêve, qu’on y réfléchit.
Il y a des cartes bien sûr, une feuille qui vole, un lapin aussi, on y parle d’amour, d’Aqualand, de faire vibrer les corps de la ville.
Ce n’est pas vraiment de la magie. Mais la magie c’est la magie.

C’est un livre géant qui s’en prend à son lecteur, l’entoure, le croque, l’avale. Un labyrinthe où l’on se perd, se cherche se trouve, et qui se métamorphose. Au fil des pages des portes apparaissent. Notre héros va-t-il les pousser, les traverser, se dépasser ? Les ouvrir, c’est se plier à l’histoire, les fermer c’est rompre la magie. Drôle de choix pour un clown qui a à faire a une redoutable poignée qui lui joue des tours. Un livre qui nous dépasse, nous trans-Porte, nous dé-Livre… Un origami d’émotions qui se pli en quatre pour notre plus grand plaisir !

Nougaro, Sting, Beatles, Al Jarreau …. laissez vous embarquer dans cette rétrospective des 50 dernières années de la musique populaire du 20° siècle.
Le Stick Chapman, un long manche, planté de 12 cordes, qui réunit piano, guitare, basse, a été produit à un peu plus de 6000 exemplaires dans le monde depuis 40 ans.
Ce sera donc un événement rare auquel vous assisterez.

Serge et Olivier Jouent des percussions pour l’un, de la contrebasse pour l’autre.
Mais ils sont très «polyphons », ils jouent également de la guitare amovible, de la basse à roulettes, de l’accordéongue, du stick en socle, de la batterie de cuisine, du bâton croisé ; ils jouent des mains et ce n’est pas un jeu de vilain, ils jouent aussi des pieds et c’est loin d’être bête.
Et comme rien ne les arrête, ils jouent aussi avec les mots et les images, et nous donnent un spectacle, aussi musical que music–hall : des chansons oui, mais des chansons à voir.
En résumé, préparez-vous à passer une heure de spectacle plein de sens, de poésie, riche d’humour et de diversité musicale, de folies douces.

Milordina, fille de lavandière, a grandi en apprenant à marcher sur le fil à linge.
Sautiller sur ce fil est toute sa vie. Sa maman, qui a de grands projets pour elle, la voit receveuse de la poste, le fil du téléphone comme promotion sociale !
Rien ne devait déranger le fil de cette histoire.
Mais le destin ne tient qu’à un fil ! Aussi, quand un cirque vient planter son chapiteau, près du lavoir, la jeune fille se retrouve, de fil en aiguille, funambule stagiaire et découvre, au fil du temps et des rencontres, que ce travail lui donne bien du fil à retordre.
Un défilé de personnages qui nous questionnent avec humour sur le monde du travail et ses différentes facettes.

Comment fait-on pour être soi même puisqu’on est jamais la même personne selon les gens avec qui on est ?

Un maître yogi très agacé, un journaliste prêt à tout pour une interview, un psychologue qui s’écoute parler… Ce sont les personnages qui habitent Matthieu Penchinat et qui l’entraîne dans une quête burlesque jusqu’à lui même !

Dans ce deuxième spectacle, le comédien se pose la question “Qui fuis-je ?” car il a “toujours rêvé d’être quelqu’un. Souvent quelqu’un d’autre.”

Il vous propose à travers un humour physique, absurde et clownesque une galerie de personnages qui vous embarquent dans une folle aventure intérieure.

Avec le soutien du fond SACD Humour / One man show.

Le temps d’une chanson jouée sur un orgue de barbarie, La Gastounette emmène les enfants pour des tours de manèges à pédales mémorables : décollage, accélération, vol en apesanteur, rétropédalage, atterrissage en douceur. Pour enfants de 1an à 1,30m,

Votre Pilote : Jean de la Lune, créateur et pédaleur : Jean est artisan ; il a créé pour sa fille Floriane un manège tout en bois. Sa fille a grandi ; il en a réalisé un autre : “la Gastounette” avec beaucoup plus de sensations.

Jean de la lune pédale 4h par jour, non-stop si nécessaire, et joue pour vous des airs à fredonner ensemble, sans même faire appel à la fée électricité ! Carte d’embarquement pour un voyage expérimental avec la Gastounette, manège à pédales !

Plusieurs formules sont possibles : “Ciné bicyclette”, “Jukebox”, “Bar à jus”, et “Boum à pédale” pour un bal endiablé…
D’ordinaire sagement cantonnée dans les prises, l’électricité prend vie avec Guy, Freddy et leurs vélos-dynamos pour un spectacle plein d’étincelles ! Chez Guy et Freddy, l’électricité est produite à la force du mollet. Le public est embarqué dans une série d’expérimentations incroyables et loufoques et devient acteur de l’évènement auquel il assiste. Grâce aux vélos-dynamos il y a de l’électricité dans les pédales !

Dobran nous conte son histoire familiale tourmentée autour de la tradition du cirque, des souvenirs sur les routes avec son frère Zork et ses ânes Zaskia et Boris. Une époque où faire leurs numéros de cirque était leur manière de tenir debout. Dobran aime jouer avec le public qui retient son souffle quand il fait revivre Zork escaladant sa montagne de caisses, ou courant derrière son diabolo indomptable. Dans un face à face avec son frère absent, Dobran nous parle de leurs joies, d’exil et de quête d’identité. Avec son décor en bambous, son lecteur cassette d’Istanbul et des performances étonnantes, il présente un spectacle emprunt de moments de tendresse, de joie, de tristesse… d’humanité

Théâtre de rue, déambulatoire. Poétique et musical.

Pourquoi si la vie est belle, le monde, parfois, paraît si laid ?
Antonello et Romeo, deux excentriques marchands de fleurs, originaires de la ville de Venise se sont donné pour tâche d’y remédier…

Artisans partisans d’une politique de la fleur et des mots, passagers d’un temps où nous avions le temps des rencontres que les fleurs animaient de mots et de promesses de liberté.
Apparaissent et disparaissent, au détour de nos rues, laissant derrière eux l’éclat d’une mémoire oubliée.
Quand ils seront déjà loin, les murs et les portes seront empreints de leurs présence légère, la rue, habitée d’écrins de fleur et de mots partagés…

Rémi, enfant, rêvait d’étoiles, d’astronautes et de voyages dans l’espace. Il a bercé sa fille Léa de ses rêves. Mais voilà, aujourd’hui Léa a 9 ans et Rémi n’est pas là pour lui fêter son anniversaire. Alors Léa transgresse l’interdit : elle pénètre dans le bureau de son père et y découvre une étrange machine… Elle va chercher à communiquer avec lui là-haut dans sa station orbitale…
Entre rêve et réalité, entre ciel et terre, un spectacle visuel et délicat sur le thème de l’absence pour une ode pleine d’amour à la relation père-fille.

Deux soldats, une position à tenir, une guerre qui n’a pas de nom… Hans attend de revoir sa fille Natasha, celle qui porte le vin de la vie. Gerd retrouvera sa sœur, qui lui tricote ses bonnets en laine. Hans vise la tête du lapin qui fera le repas. 
Gerd n’est pas d’accord, la tête c’est le meilleur !
Avec des personnages de clowns, comme des grands enfants jouant un jeu qu’ils ne comprennent pas très bien, la mise en scène met l’accent avec naïveté et drôlerie sur la difficulté des êtres à s’entendre et le long chemin vers la tolérance.
La pièce parle d’amour, de mort, de guerre, de religion, de solitude, de tendresse, du théâtre et d’utopie. Au fond, c’est une pièce sur la paix.

Grand maître dans l’art du Vaudeville, Feydeau était aussi un admirable auteur de monologues. Qu’ils soient en vers ou en prose, ils montrent une autre facette de cet auteur prolifique !
Le spectacle se compose de sept courtes pièces pour un personnage de Georges Feydeau. Ils sont liés par la voix intérieur du comédien principal, elle-même jouée par un second acteur !On navigue dans l’univers de Feydeau, avec des personnages hauts en couleur et des situations réjouissantes !

La voix intérieure est, quant à elle, tour à tour didactique, envahissante, touchante…Un spectacle mis en scène avec facétie où l’on ne s’ennuie pas une minute !

Des poussettes originales et sur mesure, qui promènent les instruments (guitare, accordéon diatonique, flûte, tamboïa…) et où s’accrochent des paniers pour les histoires, des percussions diverses pour ponctuer les chansons, bruiter les jeux de doigts et transformer les petits spectateurs en musiciens pour partager une danse ou une chanson.

“ C’est parce que, à trois c’est pire, que c’est mieux ! ”
Le Grand Orchestre de Poche est un trio de clowns passionnés par le Ukulélé.
Ils veulent rendre ses lettres de noblesse à ce petit instrument si souvent moqué. Pour eux, l’amour du ukulélé est immense et le plaisir d’être présents est énorme. Ce soir c’est “ le grand soir “ de leur premier récital. Un concert qui tourne à la catastrophe pour notre plus grand plaisir.

« Odysseus » signifie « Ulysse » en grec ancien. C’est aussi le nom du radeau sur lequel les clowns, Marco et Polo, dérivent sur les flots.

« Odysseus, ou l’histoire d’Ulysse racontée aux petits et grands » est notre première création commune. Nous avons voulu, à travers ce spectacle, nous approprier l’oeuvre d’Homère pour la rendre accessible à tous. Nous ne voulions pas en faire un spectacle trop sérieux et grandiloquent mais au contraire, le rendre décalé et amusant. C’est pourquoi, durant l’écriture du spectacle, nous avons souhaité parsemer l’univers homérique de nos propres références. C’est de cette volonté que sont nés les personnages de Marco et de Polo, deux petits clowns naïfs et attachants.

Comme décor, nous avons opté pour un simple radeau, embarcation de fortune que ces petits clowns se sont fabriqués pour ressembler à leur héros favori : Ulysse ! Sur ce radeau se trouve un coffre rempli de bric et de broc, dans lequel Marco et Polo piochent des objets leur permettant de créer leurs aventures. À la manière des enfants qui jouent, ces objets se transforment au gré de leur imagination.

L’illustration dans une bande dessinée d’un homme avec une valise quittant son pays pour aller travailler à l’étranger a été la source de mon inspiration pour ce spectacle.
Cela a fait écho à mon histoire familiale et au parcours de vie de mes parents immigrés italiens venus travailler en France dans les années 50. Mon travail de comédien clown a alors pris tout son sens. Il a trouvé sa place entre mes souvenirs d’enfance et mon expérience du spectacle jeune public.
Les images constitutives de ce spectacle me sont alors venues tout naturellement : la valise qui nous prépare au voyage, le train qui nous emmène vers l’ inconnu et enfin l’accent italien inspiré de mes origines. La magie tient également une place importante, car j’aime mêler son pouvoir de fascination à la sensibilité et à la poésie véhiculées par le personnage du clown.
C’est de cette façon et en collaboration avec Olivier Labiche qu’est né : “Karabistouille “.

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La merveilleuse rencontre d’un clown et d’une marionnette va leur ouvrir les portes de l’imaginaire. Ensemble ils vont rêver au plus beau des spectacles mêlant tours de magie, dressages de tigre, acrobaties…

Une belle histoire qui tiens à la complicité que ces 2 personnages instaurent avec le public. Un spectacle rythmé entre rire et émotion. Tout en fous rires et tendresse.

Les grisevillois avaient toutes sortes de croyances, de celles qui figent les pensées et les gens selon qu’ils soient hommes ou femmes, jeunes ou vieux, riches ou pauvres, à plumes ou à fourrure. Gare au grisevillois qui ose sortir du rôle qui lui est destiné !

Deux étrangers, deux semeurs de rêves, vont s’installer à Griseville et bousculer le quotidien de ses habitants. Les enfants d’abord puis bientôt les plus grands vont interroger leurs croyances, briser les frontières, écouter leur cœur et prendre la route de leur plus grand rêve avec courage, patience et persévérance.

Des arts mêlés mis au service d’une histoire qui interroge nos rêves et notre liberté à devenir ce que l’on pourrait être envers et contre toute conformité.

Plume est une invitation à la rêverie, un parcours poétique drôle et sensitif. Bulle poétique, non narrative inspirée par la douceur, la fragilité et la légèreté de la plume.

Petit théâtre itinérant et autonome, il s’installe dans une cours d’école, devant un théâtre, sur une place de village. Dans cet écrin tout est fait pour rassurer l’enfant, un cocon organique parsemé d’étoiles où il s’installe confortablement.

Arpenteurs des rues, ils délivrent leur bonne humeur sur le pas de vos portes.

Agitateurs publics, ils sèment leurs notes en cascades qui s’écoulent de leurs pas de géants.

Annonceurs de bonne nouvelles, ils vous soulèvent pour vous faire découvrir leur ciel. Les AAA, échassiers à gyroportées musicales, improvisateurs publics et chasseurs de rire, à retrouver sur l’Asphalte Agréé AAA de votre quartier !

Une déambulation visuelle et tonique, en interaction avec le public. La rue, les passants, l’environnement… tout est prétexte à jeu, à improvisations. Le tout servi avec des échassiers à ressorts pneumatiques, rapides et agiles et un batteur atypique sur gyropode.

Les AAA, êtres saugrenus et haut perchés, découvrent l’univers dans lequel vous les conviez et vous feront vivre un moment unique de plaisir !

Objet public non identifié ou cabinet de curiosités fantasque. Ça grince, ça cliquette, ça grogne… l’irréel s’invite chez vous !

Dandy du bitume, illusionniste du quotidien et mécano des zygomatiques, Edgar vous invite dans son entre-sort. Il secoue votre sens profond de la logique avec ses trouvailles incongrues et ses tours farfelus. Entre paris impossibles, arnaques, faux ratés et vraies performances, La Tente d’Edgar vous mène vers ce petit coin de la tête où tout reste possible.

Avec son personnage loufoque, pas franchement délicat mais véritablement attachant, Stéphane Amos mêle jeu d’acteur et improvisation burlesque à travers une magie théâtralisée.

Cirk’Alors ! c’est avant tout du cirque raconté par un clown.
Un petit cirque traditionnel revu et corrigé à la sauce actuelle. L’idée est de retranscrire tous les codes du cirque d’hier (performance, piste, numéros, dressage d’animaux, chapiteau…) dans un spectacle intime et de s’en amuser. Le cirque s’immisce alors là où on ne l’attend pas.
Assis devant le bord de piste en rond tout autour, les enfants partagent l’instant présent du clown et deviennent complices de ses facéties. Lui est à l’écoute de leurs réactions pour rythmer les numéros. La scénographie circulaire, emblème du cirque, permet aux spectateurs de partager leurs émotions et créer un dynamisme de jeu incomparable. Tous les ingrédients du cirque sont là sauf que lui est tout seul et qu’il devra faire preuve de beaucoup d’originalité pour embarquer tout ce monde dans son univers.
Du coup, l’histoire se lit davantage à travers ce personnage clownesque qui prétend faire son cirque, que dans la succession des numéros. Numéros qui se veulent originaux, toujours en lien avec les techniques des arts du cirque, mais repensés pour renouveler le genre.
Cirk’alors ! revisite ainsi le thème du cirque, les repères en tout genre, sans aucune moralité, ni défis particulier, juste pour le plaisir de s’échapper du quotidien, le temps d’un tour de piste.

Après dix ans de tournées partout en France, les Bertzniak avec la complicité de la compagnie Dynamogène ont mis au point une version 2.0 du cyclo lunaire.
Confort amélioré, visibilité élargie, technologie boostée, interactivité garantie, textes ciselés, humour Panini…
Le duo reprend la route avec une nouvelle machine déambulatoire, unique et autonome, toujours présentée par un docteur es-chromatique et un coach improbable.
Le public est invité à participer à une expérience artistico-sportive sans précédent.

Tant dans sa forme que sur le fond, cette proposition artistique reste inédite, originale et complètement décalée.