Qui a hacké Garoutzia ?

« Qui a hacké Garoutzia ? » est une comédie policière sur la mémoire des humains, des machines, et le léthé. Elle raconte les vies successives du personnage principal, Garoutzia, un agent conversationnel, un chatbot du futur.

L’énigme policière lui fait remonter le cours de sa mémoire numérique. Il découvre au contact des humains, la jouissance des mots, l’amitié, la transgression, l’amitié, la mort… C’est le prétexte pour amener le spectateur à s’interroger sur le futur de ces technologies, et reposer la grande question sur la vie, l’univers et le reste.




Nauru, l’île perdue

Quand on découvre l’histoire de Nauru, la question principale est de savoir comment les habitants de l’île en sont arrivés à détruire leur environnement. On dirait qu’à chaque croisement de route, ils aient fait les pires choix concernant la vie et maintenant la survie de leur île.

Il ne s’agit pas seulement de parler de l’épuisement des ressources mais aussi de la corruption qui l’encourage, de cette politique de terre brûlée qui nous mène au désastre.

Nous interrogeons, plutôt que condamnons, interrogeons le pourquoi, les choix, les chemins, les possibles.

La représentation est suivie d’un jeu collaboratif : il permet au public de vivre ensemble une reconstruction à partir de rien. Le but étant de réfléchir à des solutions aux problèmes environnementaux soulevés dans la pièce.




Synthèse

Quand Irène apprend que sa fille Clémence est atteinte d’une maladie incurable, elle se procure une technologie révolutionnaire : un clone synthétique à l’image de sa fille, conçu pour héberger sa conscience via le processus de la « Synthèse ».
Ce clone c’est A.I.L.E : corps synthétique qui développe une identité propre. Irène le cache pendant des années dans un placard, jusqu’à ce que Clémence revienne à la maison et découvre son existence.
Clémence aura-t-elle seulement le choix d’accepter ou de refuser la « Synthèse » ?
Une pièce qui aborde avec poésie la question du Transhumanisme et qui montre en quoi celui-ci peut bouleverser notre rapport au corps et aux autres.




Fanfare Toto

Assurément, c’est une fratrie qui semble tout droit sortie du fameux train qui creva l’écran en l’an 1886…
Six frères donc, aux allures de notables, se retrouvent ! Ce sont en fait les frères Locomotive !
Leur musique ? Un savant cocktail aux douces saveurs du siècle dernier : des mélodies foraines, cinématographiques, du vieux jazz, du classique, des vieux airs et des compositions.
A vivre comme une contrefaçon bienveillante ou grinçante à la mode 1900 pour s’amuser à remonter les pendules de l’histoire. Ils arrivent à jouer à vous faire croire que c’était mieux avant et que demain ce sera pire… Même si aujourd’hui, c’est difficile !




Alice

Redécouvrons l’œuvre de référence de Lewis Carroll : Les aventures d’Alice au pays des merveilles, tout en restant fidèle à son univers d’origine : celui des « nursery rhymes », de l’humour anglo-saxon et des flâneries opiacées de cette Angleterre du 19es…
Une Alice qui grandit, se frotte aux interdits, à l’absurde, et qui transporte le spectateur dans un rêve parfois à la limite du cauchemar.
Imaginons les rencontres avec le lapin pressé, la chenille, le chapelier fou, le sourire du chat, la reine de cœur …
La guitare électrique jouée en direct apporte un univers rock et psychédélique où les petits flacons, les gâteaux et les champignons sont plus dangereux qu’on ne le croit…