Guido est italien et mentaliste. Le mentalisme est l’art de présenter des effets paranormaux.
Lectures de pensées, divinations, prédictions impossibles sont autant d’expériences qui, dans ce spectacle, relèvent indéniablement de l’inexplicable. Et pourtant…
Le temps d’un spectacle, acceptez de mettre joyeusement des parenthèses à votre réalité.

“Qui a hacké Garoutzia ?” est une comédie policière sur la mémoire des humains, des machines, et le léthé. Elle raconte les vies successives du personnage principal, Garoutzia, un agent conversationnel, un chatbot du futur.

L’énigme policière lui fait remonter le cours de sa mémoire numérique. Il découvre au contact des humains, la jouissance des mots, l’amitié, la transgression, l’amitié, la mort… C’est le prétexte pour amener le spectateur à s’interroger sur le futur de ces technologies, et reposer la grande question sur la vie, l’univers et le reste.

Vous ne voyez pas le danger, ils l’inventent.
Deux gardes du corps, Tony et Tony, sont en mission pour sécuriser la ville et ses habitants. Ils ont de sales têtes, l’air de brutes un peu stupides, mais sont avant tout bien intentionnés : Ils sont là pour vous, pour vous protéger des autres et de vous même. Dans tout espace ou il ya des gens, il y a du danger, et les Tonys connaissent bien leur travail. Vous vouliez passer incognito, ils vous escortent, vous prenez l’air au balcon, ils veulent vous empècher de sauter, vous vouliez allez là, ils vous emmènent ailleurs…

Julie est comme elle est, et elle va vous en parler. Vous parler d’elle, vous parler de vous, vous parler de vos proches… Vous parler humain.

Rire, pleurer, hurler, interroger, voyager… Une heure et quart que vous n’oublierez peut-être pas de sitôt.

Juliette Gréco (la javanaise), Boby Lapointe (ta katy t’a quitté), Jacques Prévert (je vous salis ma rue) mais surtout Boris Vian sont de la partie.
La java des bombes atomiques, le tango des bouchers de la Villette, j’suis snob, une bonne paire de claques, l’évadé, Le blues du dentiste, je bois, le déserteur rebaptisé pour l’occasion “j’irais cracher sur vos bombes” etc… Plus quelques textes inédits d’un clown atypique sont les ingrédients de ce spectacle insolite.

Elle analogique et lui numérique, très numérique.
Chacun porte un caddie de supermarché, des caddies qui deviendront bientôt complices de leurs acrobaties.
Avec humour et magie, ils entraînent le public à la limite entre deux mondes : l’ancien et le nouveau, le passé et le futur, l’analogique et le numérique.
Il n’y a pas de gagnant et il n’y a pas de perdant. Est la rencontre quotidienne de ces deux dimensions, qui doivent toujours apprendre à coexister, avec leurs contradictions et les situations drôles qui déclenchent.
45 minutes… bien consommées !

il est plein de poésie, couleurs et d’humour.
Son spectacle est constitué de tableaux musicaux où chaque personnage fait partie d’un tableau et ainsi le fait vivre.
La musique est le principal fil conducteur, au delà des paroles et des mots.., tout le monde comprend
sa nationalité.

Pontagnac, coureur de jupons notoire, cherche à séduire Lucienne Vatelin, qui par ailleurs est courtisée par un ami de la famille, Rédillon. Elle leurs fait savoir qu’elle restera fidèle à son mari, sauf si celui-ci la trompe. Pontagnac va alors mettre tout en oeuvre pour parvenir à ses fins, malgré l’arrivée inopinée de sa femme et de l’ex-maîtresse de Vatelin. C’est alors que tout dérape, dans un tourbillon explosif et loufoque !

Anne-Gaëlle nous fait partager cinq de ses OCNI (“Objets Contés Non Identifiés”). Du haut de ses 191 cm elle subvertit les histoires par ses calembours perfides pour s’attaquer, en Blanche Neige personnifiée, au sexisme dans les contes de fées. Non sans avoir d’abord réclamé d’être reconnue en tant que “conteuse AOC” grâce à l’adoption de tous les tics et les trucs de la profession de conteuse. Du conte? Du clown? Du sketch? Une performance, c’est sûr! “Une belle découverte d’une artiste hors norme que je ne manquerai pas de suivre en 2018” (Christina Marino, rédactrice de l’Arbre aux contes, blog du journal Le Monde 14/12/2017).

Pourquoi un homme ressent un jour le besoin irrépressible de vivre dans la peau d’une femme ? Comment ça se passe, quand on a été marié, père de famille, cadre supérieur ? Pour vous le faire partager, Anne-Gaëlle Duvochel, comédienne et conteuse, ose tout et ne craint ni de nous émouvoir ni de nous faire rire. Son authenticité, sa liberté de parole et son humour téméraire vont souvent à rebours des slogans, du politiquement correct et des discours victimaires de rigueur chez beaucoup de “trans”. Ce personnage et son histoire sont tellement singuliers qu’au-delà du spectacle, il s’agit d’une véritable rencontre. Le spectateur en ressort ému, ébahi et initié. Un “bord de scène” suit.

« Qu’est-ce que le théâtre ? » répond sans chichi ni angoisse à toutes les questions que l’on se pose sur le théâtre. Et c’est drôlement intelligent.
En effet, toutes les enquêtes d’opinion le prouvent : l’art dramatique arrive en tête des sujets qui inquiètent les Français, juste après les risques alimentaires et les accidents nucléaires.
Ainsi, face à cette inquiétude, des professionnels reconnus répondent aux questions que tous se posent sur le théâtre. C’est dans une atmosphère intime et décontractée que vous saurez enfin si, lorsqu’ils s’embrassent, les comédiens mettent la langue.
Une pièce dans la pièce vous entrainera dans tous les registres des mouvements de l’âme.

Imprégnez-vous d’une histoire sur le chemin de Compostelle, à la botte d’une ânesse qui n’en fait qu’à sa tête ! Ici s’enchaînent étapes burlesques, excursions historiques, balades imaginaires et rencontres au sommet ! C’est ainsi que personnages clownesques et épopées du quotidien s’entrechoquent dans un cocktail ébouriffant d’énergie communicative. Elle se démultiplie en jouant à la fois une dizaine de personnages hommes femmes confondus, le décor, le bruit du vent, les cris d’animaux, elle a un talent fou pour stimuler notre imaginaire avec trois fois rien. Sans oublier ses chansons et ses imitations hilarantes. Bienvenue dans son monde délirant et poétique.

Liberté ! (avec un point d’exclamation) est un cri de révolte à la fois philosophique et sociétal.

Il dénonce la confiscation de la démocratie par des grands groupes industriels et de la liberté de penser par des idéologies et religions.
Mais les arguments de Gauthier Fourcade sont toujours aussi absurdes et les raisonnements délirants. L’univers devient surréaliste. Il y est question d’amour, de Romains, de moulins à paroles produisant de l’électricité, de voitures dont le volant ne peut tourner qu’à droite. On s’évade, on quitte le quotidien. Mais c’est pour mieux y revenir !

Une salle en parfait ordre de marche incluant loges, scène surélevée, 100 fauteuils
Spectacles vivants : tous genres (humour, théâtre ) mais chanson française uniquement.
En configuration cinéma : projection de documentaires, films indépendants, courts-métrages…
Parfois résidence de création, ateliers théâtre toute l’année (enfants, adultes).
Possibilité de capter un spectacle, filmer un concert, un clip et d’assurer, si besoin, sa diffusion en ligne, en direct ou en différé sur notre plateforme.

Bien connu des montpelliérains, le Kawa Théâtre, leader du théâtre d’humour, n’a d’autre prétention que d’offrir une parenthèse comique et surprenante à ses visiteurs. C’est à l’initiative de Bertrand Mayet, de son fils Tony et de Marie-Jo Durdan qu’est né le Kawa Théâtre. Tous trois professionnels du spectacle depuis longue date et fervents amateurs du registre comique, ils ont souhaité proposer un théâtre de qualité, accessible et convivial. Divertir c’est le maître-mot. L’équipe propose donc une grande variété de pièces créées, adaptées, montées ou importées pour le Kawa Théâtre.

Personne ne se rappelle de rien.
Il se rappelle de tout.

Un témoignage intersidéral dont la sobre élégance ne tarde pas à décoller en orbite, pour secouer l’Homme et sauver la Terre, comme l’ont suggéré les extraterrestres.

Une écriture ciselée et un jeu jubilatoire pour un récit haletant, audacieux et subtil !

Déboires c’est l’histoire d’un personnage à la terrasse d’un café, un cow-boy au chapeau, un dandy maladroit qui commande un verre d’eau, un verre d’eau pour plonger dans un imaginaire peuplé de sons étranges et de bruits insolites. Un spectacle musical, visuel et sonore où les bruitages se font à vue et en direct avec pour références l’univers de Jacques Tati, les grands burlesques du cinéma muet ou encore les Monty Python…

Serge et Olivier Jouent des percussions pour l’un, de la contrebasse pour l’autre.
Mais ils sont très «polyphons », ils jouent également de la guitare amovible, de la basse à roulettes, de l’accordéongue, du stick en socle, de la batterie de cuisine, du bâton croisé ; ils jouent des mains et ce n’est pas un jeu de vilain, ils jouent aussi des pieds et c’est loin d’être bête.
Et comme rien ne les arrête, ils jouent aussi avec les mots et les images, et nous donnent un spectacle, aussi musical que music–hall : des chansons oui, mais des chansons à voir.
En résumé, préparez-vous à passer une heure de spectacle plein de sens, de poésie, riche d’humour et de diversité musicale, de folies douces.

Comment fait-on pour être soi même puisqu’on est jamais la même personne selon les gens avec qui on est ?

Un maître yogi très agacé, un journaliste prêt à tout pour une interview, un psychologue qui s’écoute parler… Ce sont les personnages qui habitent Matthieu Penchinat et qui l’entraîne dans une quête burlesque jusqu’à lui même !

Dans ce deuxième spectacle, le comédien se pose la question “Qui fuis-je ?” car il a “toujours rêvé d’être quelqu’un. Souvent quelqu’un d’autre.”

Il vous propose à travers un humour physique, absurde et clownesque une galerie de personnages qui vous embarquent dans une folle aventure intérieure.

Avec le soutien du fond SACD Humour / One man show.

M. Bankroot décide d’abandonner sa vie de banquier pour travailler dans un cirque. Il se rêve dompteur de fauve, équilibriste, musicien, jongleur… mais certainement pas clown !
Mais les tests d’entrée ne trompent pas : il est fait pour ce qu’il rejette !
Entre numéros classiques et trouvailles hilarantes, un solo de clown drôle et tendre où l’on assiste à la rencontre d’un homme avec son destin !

Un spectacle participatif et familial.

Grand maître dans l’art du Vaudeville, Feydeau était aussi un admirable auteur de monologues. Qu’ils soient en vers ou en prose, ils montrent une autre facette de cet auteur prolifique !
Le spectacle se compose de sept courtes pièces pour un personnage de Georges Feydeau. Ils sont liés par la voix intérieur du comédien principal, elle-même jouée par un second acteur !On navigue dans l’univers de Feydeau, avec des personnages hauts en couleur et des situations réjouissantes !

La voix intérieure est, quant à elle, tour à tour didactique, envahissante, touchante…Un spectacle mis en scène avec facétie où l’on ne s’ennuie pas une minute !

« Odysseus » signifie « Ulysse » en grec ancien. C’est aussi le nom du radeau sur lequel les clowns, Marco et Polo, dérivent sur les flots.

« Odysseus, ou l’histoire d’Ulysse racontée aux petits et grands » est notre première création commune. Nous avons voulu, à travers ce spectacle, nous approprier l’oeuvre d’Homère pour la rendre accessible à tous. Nous ne voulions pas en faire un spectacle trop sérieux et grandiloquent mais au contraire, le rendre décalé et amusant. C’est pourquoi, durant l’écriture du spectacle, nous avons souhaité parsemer l’univers homérique de nos propres références. C’est de cette volonté que sont nés les personnages de Marco et de Polo, deux petits clowns naïfs et attachants.

Comme décor, nous avons opté pour un simple radeau, embarcation de fortune que ces petits clowns se sont fabriqués pour ressembler à leur héros favori : Ulysse ! Sur ce radeau se trouve un coffre rempli de bric et de broc, dans lequel Marco et Polo piochent des objets leur permettant de créer leurs aventures. À la manière des enfants qui jouent, ces objets se transforment au gré de leur imagination.

Objet public non identifié ou cabinet de curiosités fantasque. Ça grince, ça cliquette, ça grogne… l’irréel s’invite chez vous !

Dandy du bitume, illusionniste du quotidien et mécano des zygomatiques, Edgar vous invite dans son entre-sort. Il secoue votre sens profond de la logique avec ses trouvailles incongrues et ses tours farfelus. Entre paris impossibles, arnaques, faux ratés et vraies performances, La Tente d’Edgar vous mène vers ce petit coin de la tête où tout reste possible.

Avec son personnage loufoque, pas franchement délicat mais véritablement attachant, Stéphane Amos mêle jeu d’acteur et improvisation burlesque à travers une magie théâtralisée.

Cirk’Alors ! c’est avant tout du cirque raconté par un clown.
Un petit cirque traditionnel revu et corrigé à la sauce actuelle. L’idée est de retranscrire tous les codes du cirque d’hier (performance, piste, numéros, dressage d’animaux, chapiteau…) dans un spectacle intime et de s’en amuser. Le cirque s’immisce alors là où on ne l’attend pas.
Assis devant le bord de piste en rond tout autour, les enfants partagent l’instant présent du clown et deviennent complices de ses facéties. Lui est à l’écoute de leurs réactions pour rythmer les numéros. La scénographie circulaire, emblème du cirque, permet aux spectateurs de partager leurs émotions et créer un dynamisme de jeu incomparable. Tous les ingrédients du cirque sont là sauf que lui est tout seul et qu’il devra faire preuve de beaucoup d’originalité pour embarquer tout ce monde dans son univers.
Du coup, l’histoire se lit davantage à travers ce personnage clownesque qui prétend faire son cirque, que dans la succession des numéros. Numéros qui se veulent originaux, toujours en lien avec les techniques des arts du cirque, mais repensés pour renouveler le genre.
Cirk’alors ! revisite ainsi le thème du cirque, les repères en tout genre, sans aucune moralité, ni défis particulier, juste pour le plaisir de s’échapper du quotidien, le temps d’un tour de piste.

Monsieur Mouche est factotum, l’homme à tout faire du théâtre. Mais il fait quoi ?
La plupart du temps rien. Il attend qu’on ait besoin de lui pour changer une ampoule, graisser une porte. Cela laisse du temps pour s’amuser…
Son temps il le passe à faire de la musique et chanter des chansons. De la famille des grands naïfs, drôle, touchant, humain, Monsieur Mouche est un concentré d’optimisme. Il vous entrainera dans son univers burlesque avec une maladresse hilarante.

Un duo survolté et inoubliable au regard incisif. Un spectacle mené par Pénélope Berthier et Philomène
de la Souche, deux conférencières clowns.
On pourrait s’attendre à tout, se projeter dans quelque chose de déjà vu, de trop littéraire, de trop clownesque, de trop sérieux, de trop ennuyeux…Il n’en est rien… Habilement, elles nous entraînent dans leur univers singulier et dans celui de W. Shakespeare. En sortant, nous garderons longtemps en tête cette conférence menée tambour battant.
La Cie Le Théâtre du Chapeau tourne des spectacles de clown en France et dans le monde depuis 30 ans.

France 2040, 1er tour des élections présidentielles, un abstentionniste convaincu se rend pour la première fois de sa vie dans un bureau de vote où un conseiller se voit attribuer la tâche de “l’aider” à trouver le candidat qui lui correspond.
Dans un futur pas si lointain, premier tour des élections présidentielles, grâce à de savants algorithmes et à la réalité virtuelle, le gouvernement français a mis au point un système de simulation complexe qui ” aide ” les citoyens à choisir le candidat qui leur correspond le mieux. Dans un bureau de vote2.0, un homme voué à l’abstention découvre la machine démocratique, ses bugs et ses entourloupes.
Ce spectacle tourne en dérision les politiciens, la bien-pensance, et nous mêmes à travers un saut dans le temps déjanté.

Les Guides Incompétents sont à votre disposition pour créer :
Des visites guidées architecturales, historiques, décalées … mais toujours très bien renseignées. Visite guidée à la demande sur thèmes et sur publics ciblés : enfants, adultes, seniors. Visite galeries, monuments historiques, musées…

Les guides sont déclinés en plusieurs genres ou époques : Contemporains, XVII siècle, romains, archéologues.

Deux comédiens s’affrontent sur les thèmes du public pour départager qui de l’un ou de l’autre manie le mieux l’art de la langue et celui de l’improvisation. Ils s’affrontent à « mains nues » ou « à la manière de.. », empruntant alors aux auteurs, réalisateurs, ou chanteurs, leur langue et thématiques de prédilection.
c’est le public qui décide qui l’emportera ! Un spectacle totalement improvisé et interactif.
Ce spectacle d’improvisation, créé en 2009 réunit les improvisateurs professionnels Français les plus expérimentés. Tout le concept est basé sur les codes des duels du XIXeme siècle, les spectateurs rédigent leurs thèmes sur des cartons qu’ils glissent dans un gant qui leur a été distribué. Au début de chaque improvisation, ils sont invités à lancer leur gant sur scène. Les improvisateurs ramassent un gant au hasard, lisent le thème et choisissent ensuite une « arme », un auteur ou un genre à la manière duquel ils improviseront. L’improvisation peut commencer, il y en aura ainsi une douzaine au cours de la soirée, toutes totalement différentes. A la fin de chaque improvisation, à l’aide d’une rose rouge ou blanche, les spectateurs votent pour l’un ou l’autre des acteurs. A la fin du duel, l’un des deux l’emportera !