Baró Drom

Andalou de Grenade, Luis de la Carrasca est l’une des références dans le monde Flamenco. Dans ce nouveau spectacle, il poursuit son exploration sonore entre tradition et modernité. Son inspiration chemine dans son vécu, sa réalité et reflète un sentiment qui ne veut jamais partir.
Au chant et au rythme de la guitare Flamenco, s’intègrent un souffle classique avec le piano, une impulsion jazz avec la contrebasse, une liberté avec les percussions, une énergie avec la danse. Attentif aux sons du monde, Luis de la Carrasca croit au pouvoir des mots et défend une musique sans limites.




Pommes d’Amour

Trois frères et sœurs se souviennent de leurs vacances et des émotions partagées dans un immense parc d’attractions.
Leurs reviennent le goût des sucreries, mais aussi leur passion pour les jeux vidéos. Les chamailleries qui les divisaient quelques fois entre garçons et filles pour des raisons futiles.
Mais surtout la complicité et l’amour qui les unissaient face aux regards et moqueries
parfois entendues sur leur passage, à la vue de leur frère dans son fauteuil roulant.
Réunis par la danse et la musique, unis dans leurs différences, ils nous partagent leurs incroyables aventures… et mésaventures !
À travers une histoire riche en rebondissements, cette fratrie partage ces mésaventures et emmène le public à prendre conscience des embûches que l’on peut trouver sur le chemin de la vie . . . et comment les dépasser pour grandir !
Avec la conviction que la solidarité, la fraternité et l’amour seront toujours le socle du progrès de l’humanité.



MIWA

Miwa est un monde inconnu et fantastique. Pour l’écrire, Simonne Rizzo mélange danse, dessin et scénographie numérique sous l’inspiration du cinéma d’animations d’Hayao Miyazaki. Dans la blancheur géométrique d’une page de manga, quatre interprètes se dissolvent dans l’androgynie des personnages. Êtres parfois lumineux, vaporeux, aériens, aquatiques … Ils dansent autant qu’ils se confondent dans les transformations scénographiques. Ce projet pictural et chorégraphique tente de nous permettre de transcender nos connaissances et de redécouvrir cette partie de l’imagination qui est le moteur de l’enfance.




22e Festival Andalou

Du 10 au 26 mars 2023, la culture andalouse s’invite sur Avignon et ses alentours. Au programme : expositions, musique, dance, gastronomie, cinéma, ateliers, conférences et d’autres surprises… Seul, en couple, entre amis ou en famille, partez à la découverte du sud de l’Espagne entre histoire, art et tradition ! Un véritable voyage par procuration pour petits et grands.

(Re)découvrez le Festival Andalou à l’occasion de sa 22ème édition. Une immersion au cœur de l’univers Flamenco au travers de nombreux temps forts.

Programmation complète, réservation et infos sur www.lefestivalandalou.com.




Anima

Au milieu de ses œuvres à taille humaine, un sculpteur modèle une femme en argile. Un danseur approche : à son tour il est recouvert de glaise…
Sous l’envoûtement des sonorités tribales du percussionniste Pierre Thibaud, un dialogue
nait entre les regards figés, pétris d’humanité, et le corps mouvant.
Tribalité, contorsionnisme, possession, dépossession. Le danseur se laisse emporter dans le
tourbillon de l’instinct et nous ensorcelle par une danse faisant écho à notre condition d’êtres de chair… et d’argile.
Anima veut brouiller les pistes et mettre nos repères en porte-à-faux.
Notre rapport au temps, à l’espace, au corps et à l’âme en est complètement bouleversé…




Un mouchoir de ciel bleu

C’est un petit bout de ciel bleu…

Il tombe à terre et devient mouchoir, en quête d’un chagrin à consoler.

Catapultés dans ce mouchoir, un danseur, un piano et une voix d’enfant chroniquent pas à pas nos déroutes face aux aléas de la vie avec, au fond des poches, notre besoin atavique d’espérer malgré tout.

Une odyssée à la recherche de l’enfant intérieur, soldat en armes sur la marelle de la reconstruction…

 




Gharnata

Luis de la Carrasca présente son nouveau spectacle « Gharnata » issu de son album éponyme.
Gharnata veut dire Granada en arabe. L’artiste, originaire de Grenade, rend hommage à l’héritage laissé par cette extraordinaire civilisation lors de son apogée. C’est dans ce nouveau spectacle que 5 musiciens et une envoûtante danseuse accompagnent Luis de la Carrasca. Ses paroles font référence aux valeurs indispensables à l’humanité. En effet, il a ressenti la nécessité d’aborder nos racines qui nous guident vers le futur. C’est ainsi qu’il rend aussi hommage aux génies universels que sont García Lorca, Machado, ou encore le grand Bizet. En somme, il désire partager avec le public sa manière d’aborder le Flamenco. Un patrimoine inoubliable !




Climax

Le rire utilisé comme arme de réflexion massive.
Après le succès de « Manger », la Compagnie Zygomatic revient chatouiller notre conscience face à l’urgence climatique. Tout en poussant un peu plus loin son exploration du spectacle multiforme, les quatre comédiens tantôt danseurs, chanteurs, et mimes nous embarquent dans un road movie férocement drôle, fertile et libérateur.
En somme, c’est un mariage entre comique absurde, humour grinçant et transmission de véritables enjeux scientifiques…




Balayer Fermer Partir

Que se passe-t-il lorsqu’une danseuse et une écrivaine se rencontrent ?
L’une offre ses mots, l’autre ses gestes, et voici qu’ils se mêlent en un solo chorégraphique. C’est une voix, c’est une danse qui partent explorer à l’unisson ce que les lieux provoquent en nous de sensations : le fait de vivre entre quatre murs, un sol, un plafond ; ce que symbolisent les fenêtres ; le rapprochement avec ce lieu qu’est le corps, notre première
« maison »… Quels souvenirs les lieux inscrivent-ils en nous ? Comment habitons-nous notre propre corps ? Autant de phrases, de gestes, de ruptures et de souffles qui délimitent un espace dans lequel on se tient comme sur un fil tendu.




Sœurcières

« Ensemble ouvrons ce vieux grimoire recouvert de poussière : de nombreuses histoires de sorcières, de destins de femmes et au milieu d’elles retrouvons une jeune fille à la croisée des chemins… »
Ce conte poétique et dansé revisite la sorcière au nez crochu. Ainsi nous est proposé une création remplie de magie, de sortilèges mais surtout empreinte de liberté.
Dans de nombreuses histoires la sorcière est un personnage récurrent. Mais elle est rarement le personnage principal. La Cie Plumea cherche à questionner cette sorcière.
En bref, la sorcière ne serait-elle pas un symbole de force ? Un modèle inspirant ?




Revue de Rue

Format : Fresque de rue lumineuse en mouvement – scénettes chorégraphiques fixes
Musique : Répertoire sur bande son – Musique originale
Durée : Spectacle déambulatoire 1h30 ou 2 x 45 min
Technique : Son et lumière – fournie par la compagnie

Déambulatoire version complète :
14 artistes + 1 technicien

La Tour Piano : Machine musicale – tirée par un petit véhicule et conduite par un comédien. Sonorisation, lumières, confettis et pyrotechnie intégrés
Le Pianiste : comédien acrobate et équilibre
2 Danseurs équipés de chapeaux lumineux
3 Danseuses équipées de chapeaux lumineux
1 Échassier acrobate lumineux
6 Marionnettes géantes lumineuses
1 Technicien




InKarnè

En extérieur, on choisira les anciennes cours intérieures, amphithéâtres ou murs en ruines.
Une attention particulière est portée aux vieilles pierres et voûtes, qui font partie du décor
environnant : l’ancien, qui a vécu, la notion de sacré entre également en jeu.



LET’S TALK ABOUT SEXism

Le principe est simple : 10 citations/textes d’auteurs-trices connu-es sur les rapports H/F, le sexisme, le féminisme sont énoncés par une comédienne et accompagnés d’une « mise en corps » chorégraphiée. Une citation ne dit pas tout. Automatiquement, l’esprit cherche à remettre la phrase dans un contexte, telle une énigme. Le spectacle engage le public dans une réflexion et créativité instantanée. Ces citations, telles des « punchlines», bien appréciées des adolescent.es de 12 à 18 ans, laisseront aux jeunes l’espace et le temps pour élaborer un fil narratif possible qui la précède et l’accompagne. Dans cet espace, la danse digère ces mots et élargit les sillons de la seule réflexion.




One More?

Lors d’un bal de tango argentin, lorsqu’on souhaite faire une dernière danse, on lance un «une de plus? », qui signifie en réalité «je souhaite en rester là après cette danse». C’est un «euphémisme de bienséance», une façon polie de finir la partie, qui pourra, ou pas se reproduire plus tard dans la soirée de bal. Jeu d’identités à «danser», le tango est une forme de drogue où l’on se rêve bercé-e la nuit durant, dans les bras des danseurs-es. Pour y parvenir, tenues, comportements et règles de cette société sont tacitement suivies. A travers cette danse qui met le «coeur» au centre, on se met à nu dans nos identités. Quelque chose ne ment pas dans les bras de l’autre, le corps raconte.




LaScierie Festival d’Avignon Off

LaScierie est un Tiers-lieu et un théâtre à l’année tournés vers le culturel, l’écologie, et l’économie Sociale et Solidaire. L’édition 2021 Festival d’Avignon Off sera représentative de nos appétits et riche de nos curiosités; programmation pluridisciplinaire et internationale, elle s’est élaborée avec des artistes confirmés autant qu’avec des compagnies émergentes. Toute la programmation à découvrir sur le site lascierie.coop.Une buvette et une restauration biologiques seront présentes pour vous accueillir dans les meilleures conditions, et bien sûr, une table de ping pong.




La Grande Phrase

Les personnages de GONFLES/Véhicules sont gonflés d’air –. L’air dans les structures de latex est le moteur de cette création : il génère les formes et les déformations, les énergies, la dynamique. Il devient ainsi créateur d’un lien nouveau entre le danseur, l’espace, le public, l’architecture, la ville, la vie dans cet espace public qu’il vient troubler, ranimer. Il transforme le danseur en signe, en symbole, jamais univoque – voir ci-dessous. Ce jeu entre l’air et le corps du danseur « augmenté » donne une valeur cosmique à ce projet hors normes qui rassemble tous les publics.




LaScierie

LaScierie est ce que l’on appelle aujourd’hui un Tiers-lieu, tourné vers le culturel, l’écologie, et l’ESS.
Son écosystème regroupe une programmation artistique pluridisciplinaire à l’année, une SCIC d’autopartage, un magasin Biocoop, des espaces de bureaux partagés, un studio de danse & yoga.




Le premier roi

« Le Premier roi » repose sur une légende fondatrice de l’humanité. Ce conte révolutionnaire, transmis oralement de siècle en siècle, est un hymne à l’Amour et à l’Art. A la manière d’un conte des 1001 nuits, la conteuse Catherine Alias et la danseuse Lise Moulet nous emmènent pour un voyage entre l’Inde et le Darfour. La dernière danse, dédiée au dieu Shiva, facilitera t-elle l’évolution éthique et spirituelle ? L’abolition du sacrifice humain sera t-elle proclamée au lever du jour ? Le « Premier roi » dévoile les réponses.