Beyrouth Hotel

Dans un modeste hôtel de Beyrouth, les interrogations intellectuelles d’un auteur de théâtre parisien se heurtent au goût de la vie et à la spontanéité d’une réceptionniste, qui a pourtant presque toujours connu la guerre. Cette comédie douce-amère, pleine de drôlerie et de subtilité, raconte ainsi la rencontre de deux mondes et de leurs cultures, de l’Orient et de l’Occident, et aussi d’une femme et d’un homme… Avec l’aide d’un complice musical inattendu et malicieux, dans un dialogue percutant, parfois hilarant, mêlant dérision et tendresse, ce jeu de miroir plein d’énergie, parfois touchant, vient bousculer les certitudes de personnages drôles et attachants. Reste à savoir jusqu’où ?




Meilleurs Vœux (ou presque…)

C’est une comédie qui commence plutôt mal. Sandrine, dynamique et toujours partante pour une soirée, part fêter le réveillon, avec un déguisement déjanté. Antoine, lui, vit une vie sans relief, avec un manque sidéral de tendresse, et il a décidé d’y mettre un terme… Mais avant, il a un incroyable secret à révéler à Sandrine, qui ignore pourtant tout de lui. Telle une tornade, Sandrine débarque chez Antoine, sans savoir que ses révélations de suicidaire vont faire vaciller sa propre existence. Et de rebondissements inattendus en répliques mordantes, au bout d’une soirée de réveillon bourrée d’humour, leurs deux vies ne seront plus les mêmes… C’est peut-être une comédie qui finit bien ?