MIWA

Miwa est un monde inconnu et fantastique. Pour l’écrire, Simonne Rizzo mélange danse, dessin et scénographie numérique sous l’inspiration du cinéma d’animations d’Hayao Miyazaki. Dans la blancheur géométrique d’une page de manga, quatre interprètes se dissolvent dans l’androgynie des personnages. Êtres parfois lumineux, vaporeux, aériens, aquatiques … Ils dansent autant qu’ils se confondent dans les transformations scénographiques. Ce projet pictural et chorégraphique tente de nous permettre de transcender nos connaissances et de redécouvrir cette partie de l’imagination qui est le moteur de l’enfance.




Kant et autres contes

Un dialogue poétique entre conte, création sonore, ombres et marionnettes, à vivre en famille ! À partir de trois contes philosophiques de Jon Fosse, Kant, Noir et humide et Petite sœur, trois enfants découvrent le monde chacun à leur manière. Kristofer, 8 ans, s’interroge sur notre réalité et les limites de l’univers ; Lene, seule à la maison, décide de découvrir à tout prix les trésors cachés dans la cave, il lui faudra d’abord récupérer la lampe de son frère. Et enfin notre petit héros de 4 ans emmènera coûte que coûte sa petite sœur découvrir la mer. Chaque histoire nous plonge dans un monde à hauteur d’enfants…et dans la poésie de leur imaginaire…




Nauru, l’île perdue

Quand on découvre l’histoire de Nauru, la question principale est de savoir comment les habitants de l’île en sont arrivés à détruire leur environnement. On dirait qu’à chaque croisement de route, ils aient fait les pires choix concernant la vie et maintenant la survie de leur île.

Il ne s’agit pas seulement de parler de l’épuisement des ressources mais aussi de la corruption qui l’encourage, de cette politique de terre brûlée qui nous mène au désastre.

Nous interrogeons, plutôt que condamnons, interrogeons le pourquoi, les choix, les chemins, les possibles.

La représentation est suivie d’un jeu collaboratif : il permet au public de vivre ensemble une reconstruction à partir de rien. Le but étant de réfléchir à des solutions aux problèmes environnementaux soulevés dans la pièce.




La Dignité des Gouttelettes

La pluie qui perle au bout des doigts, une jardinière et ses coquelicots, la surprise d’un nuage, la déambulation d’un escargot sous la courbe d’un arc en ciel, une vieille pêcheuse et son poisson, une tempête miniature …
Dans une succession de tableaux dont la trame a la couleur des haïkus, La Dignité des Gouttelettes raconte le lien essentiel de l’eau et du vivant. Entre illusion et réalité, reflet et lumière, projections et manipulation poétique, cette création sensorielle invite à une rêverie qui éveille sur la merveille de cet élément de notre quotidien.




L’île au trésor

Le petit Jim Hawkins, qui mène une vie tranquille à l’auberge de l’Amiral Benbow, se retrouve par une série d’aventures en possession d’une mystérieuse carte au trésor. Aidé par ses amis, le docteur Livesey et le Comte Trelawney, il embarque à bord de l’Hispanola, à la recherche de l’Ile au Trésor. Mais l’équipage se révèle être en réalité une bande de pirates – menée par John Silver. Jim et ses amis réussiront ils à échapper aux pirates, à trouver le trésor et à rentrer sains et saufs en Angleterre ? Une adaptation du chef-d’œuvre de Stevenson pour théâtre d’objets.




L’Orgarêve et ses Joyeux Nuages

Trois machines en une ! Un manège-théâtre écologique à propulsion parentale, un orgue et une machine cinétique.

« L’Orgarêve et ses Joyeux Nuages » cache en son for intérieur un orgue extraordinaire, placé au cœur d’une authentique Citroën C3 de 1929 complètement déstructurée, l’orchestrion donne le ton avec ses sonorités à la « Pink Floyd ». Abritée par un toit ailé, notre étonnante voiture évolue comme perchée en apesanteur pour un voyage hors du temps. Aux commandes de ce carrosse un personnage un peu lunaire à la « Sergent Pepper ». Dès les premières note de musique, les enfants s’envolent à bord de nuages bigarrés flottant dans les airs et mis en orbite autour d’une fantastique machine à rêves.




Synthèse

Quand Irène apprend que sa fille Clémence est atteinte d’une maladie incurable, elle se procure une technologie révolutionnaire : un clone synthétique à l’image de sa fille, conçu pour héberger sa conscience via le processus de la « Synthèse ».
Ce clone c’est A.I.L.E : corps synthétique qui développe une identité propre. Irène le cache pendant des années dans un placard, jusqu’à ce que Clémence revienne à la maison et découvre son existence.
Clémence aura-t-elle seulement le choix d’accepter ou de refuser la « Synthèse » ?
Une pièce qui aborde avec poésie la question du Transhumanisme et qui montre en quoi celui-ci peut bouleverser notre rapport au corps et aux autres.




Cadie à Cadie

Elle analogique et lui numérique, très numérique.
Chacun porte un caddie de supermarché, des caddies qui deviendront bientôt complices de leurs acrobaties.
Avec humour et magie, ils entraînent le public à la limite entre deux mondes : l’ancien et le nouveau, le passé et le futur, l’analogique et le numérique.
Il n’y a pas de gagnant et il n’y a pas de perdant. Est la rencontre quotidienne de ces deux dimensions, qui doivent toujours apprendre à coexister, avec leurs contradictions et les situations drôles qui déclenchent.
45 minutes… bien consommées !




Magic Fluo

il est plein de poésie, couleurs et d’humour.
Son spectacle est constitué de tableaux musicaux où chaque personnage fait partie d’un tableau et ainsi le fait vivre.
La musique est le principal fil conducteur, au delà des paroles et des mots.., tout le monde comprend
sa nationalité.




Au Comptoir Modeste

Au comptoir modeste, il se passe des choses, peu, peu … Et puisqu’il faut en finir, commençons maintenant. La seule question qui vaille est « Qu’est-ce que je fous là ? » (Cf. roman de Gébé, éd. Du Square – Harakiri)
Une guinguette ou un caboulot, en tous cas, on y sert volontiers de l’alcool. Sur le zinc trône un distributeur de cacahuètes, mais ce sont des écrous (M10) à la place des arachides. Faut dire que ce bistrot à de drôles d’allures de cabaret mécanique autour duquel s’activent deux zigues, deux compères, deux à-quoi-bonistes désespérément loufoques. Au comptoir de ce bar, viendront s’accouder Tati, Tinguely et Bukowski. Un jour, ça va ouvrir, sûr. Et je vous garantis qu’il s’y passera des choses pires que des rêves de gosses, mieux qu’un cauchemar d’ivrogne.

A ta santé, camarade !




Au bord du Vide

Au point de rencontre entre poésie, jonglage et acrobatie, un trio s’interroge sur la fuite du temps.

A ces questions intemporelles, le cirque possède l’art de répondre en reliant le monde des objets à nos pensées les plus secrètes. Au bord du Vide, c’est l’histoire d’un homme qui se retrouve face à sa vie. Un regard en arrière, un regard en avant, ce qu’il a fait, ce qu’il lui reste à faire mais ce jour là il ne peut plus rien faire, un homme troublé au point de se dédoubler. C’est le début : la crise !?

Sur scène, trois comédiens-circassiens jouent des âges de la vie : le Jeune, acrobate-jongleur fougueux qui ne tient guère en place, le Vieux, clown philosophe et funambule qui marche  sur des lignes immatérielles, au temps présent, un homme dans sa quarantaine virevolte dans une roue Cyr comme dans une boussole affolée.

Après « Tout d’abord » et « Après grand, c’est comment ? » la Compagnie Manie offre une nouvelle méditation mouvementée sur le temps… au bord du vide et pleine de sens.




Angèle

Le spectacle est un hommage universel à la vie.
Angèle vit avec ses parents dans une ferme provençale. Elle se laisse séduire par un beau parleur marseillais, qui ne tarde pas à la mettre sur le trottoir. Un an plus tard, elle revient à la maison avec son bébé, un “bâtard“… Son père les recueille, mais pour sauver l’honneur de la famille les séquestre dans la cave.
Le public assiste au texte joué par six acteurs et, simultanément, au tournage évoqué et chorégraphié du film. Une scénographie ingénieuse permet de révéler le monde à la fois réel et invisible du champ et du hors-champ. Grâce à la magie de l’instant, le cinéma franchit l’écran pour se poser délicatement sur la scène.




Anima

Au milieu de ses œuvres à taille humaine, un sculpteur modèle une femme en argile. Un danseur approche : à son tour il est recouvert de glaise…
Sous l’envoûtement des sonorités tribales du percussionniste Pierre Thibaud, un dialogue
nait entre les regards figés, pétris d’humanité, et le corps mouvant.
Tribalité, contorsionnisme, possession, dépossession. Le danseur se laisse emporter dans le
tourbillon de l’instinct et nous ensorcelle par une danse faisant écho à notre condition d’êtres de chair… et d’argile.
Anima veut brouiller les pistes et mettre nos repères en porte-à-faux.
Notre rapport au temps, à l’espace, au corps et à l’âme en est complètement bouleversé…




Madame Caroline

Le 3ème petit cochon était une fille. Vous aussi, vous l’aviez oublié ?
Georges raconte, images à l’appui, comment ça c’est vraiment passé.
Il présente le spectacle, mais Caroline s’invite. Par préjugé, il la met à la cuisine : c’est une fille !
Erreur.
C’est mal connaître celle qui, avec les casseroles, préfère jouer la salsa.
C’est mal connaître celle qui, grâce à son caractère – devenu célèbre – a sauvé ses frères du Loup.
Lui s’en souvient encore, il en est devenu végétarien.

Avec Kamishibaï, Ukulélé et batterie de cuisine.




Le Dindon

Pontagnac, coureur de jupons notoire, cherche à séduire Lucienne Vatelin, qui par ailleurs est courtisée par un ami de la famille, Rédillon. Elle leurs fait savoir qu’elle restera fidèle à son mari, sauf si celui-ci la trompe. Pontagnac va alors mettre tout en oeuvre pour parvenir à ses fins, malgré l’arrivée inopinée de sa femme et de l’ex-maîtresse de Vatelin. C’est alors que tout dérape, dans un tourbillon explosif et loufoque !




Serrement d’Hippocampe

Que dirait une personne atteinte par la maladie d’Alzheimer si elle se voyait elle-même de l’extérieur et avec toutes ses facultés ?
Tel est le parti-pris de « Serrement d’Hippocampe » qui propose le récit de cette rencontre imaginaire entre le personnage et lui-même, se dédoublant sur scène pour jeter un regard tendre sur son épouse qui l’aima coute que coute, un regard critique aussi voire sarcastique sur son parcours avec la maladie et sur ceux qu’il a côtoyés.
De la révolte à la nostalgie, sur un ton léger et parfois caustique, « Serrement d’Hippocampe » vous propose une tranche de vie, d’une vie après soi, d’une vie rétrécie, la vie de l’individu, de la personne qu’il reste avant tout.

Crédit photos : Christian de Héricourt




Le Chant des Baleines

Si je n’ai pas connue ma mère c’est où chez moi ? d’où je viens ? où je suis ? où je vais ?”
Une jeune fille nous invite à un voyage au cœur de ses souvenirs.
Une question pourtant toute simple en apparence “C’est où chez toi ?” devient le point de départ
de sa quête, de son parcours singulier autour du monde pour retrouver son pays d’origine.
Sensible et teintée d’humour, une traversée au pays des images, des berceuses et des ombres,
abordant le thème de l’exil avec la douceur d’une berceuse.
Pour Jeune et aussi tout public un moment de partage à vivre en famille.
“La voix d’une mère qui berce son enfant n’a pas la couleur de sa langue
mais celle de l’amour qu’elle lui porte”




Viva Ivo

Une plongée dans le répertoire de ce magnifique et puissant interprète que fut Ivo Livi alias Yves Montand et un rendez vous avec quelques beaux esprits de la chanson et de la poésie…. Piaf, Jacques Prévert, Francis Lemarque, Jean Lou Dabadie, Louis Aragon, Jean Constantin, Bernard Dimey, Pierre Barouh et d’autres !
Avec Tom Torel chant et guitare, JS Bressy piano, Jo Labita accordéon et trombone, JP Cazenove basse et contrebasse, Eric Bretheau batterie.




Le Grand Soir

Pour Jo Billy, chanteur aigri et misogyne, c’est le grand soir : le concert de la consécration !
Pour Charlie, choriste solaire et pipelette, c’est aussi le grand soir : sa première scène en tant que chanteuse !
Il pense faire le concert de sa carrière.
Elle pense réaliser le rêve de sa vie.
Mais leurs deux caractères que tout oppose vont entrer en conflit et la soirée prévue va prendre une toute autre tournure…